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Courrier de la saisonnalité en Novembre

„Ecologie de l’alimentation : Appréhender l’alimentation et ses enjeux de durabilité”.

La provenance et la saisonnalité

Quel que soit le temps qu’il fait en novembre, les choix ne manquent pas en ce qui concerne les fruits et les légumes  ! L’automne est ainsi synonyme de l’arrivée des champignons, de la cueillette de quelques châtaignes à l’orée des bois et de dégustation de clémentines juteuses au petit matin. Côté cuisine, les soupes sont de retour, les gratins se dégustent avec gourmandise et les gâteaux moelleux sont un petit plaisir sucré.

Une bonne cuisine, c’est avant tout celle où l’on mange des produits de qualité de manière équilibrée. Pour cela, il convient d’être en harmonie avec la Terre et donc de prendre en compte le rythme de la nature et la biodiversité. Et pour être sûr de ce qui se trouve dans notre assiette, rien de mieux que d’avoir un potager dans la tête ! C’est ainsi que nous vous proposons de découvrir le calendrier des fruits et légumes du mois de novembre.

Vitamines naturellement présentes dans les fruits et légumes de saison, il est donc essentiel d’avoir une alimentation riche. Avec des nuits plus longues, une lumière plus rare, notre organisme a besoin de compenser avec cette saison d’hiver qui arrive.

Mais que veut dire manger de saison, donc à fortiori local ?

Manger des fruits et légumes de saison, mais aussi suivre la saisonnalité des fromages, viandes ou encore poissons, c’est simplement se caler sur les cycles de la nature.

L’achat de nourriture est le moyen le plus efficace d’impacter la réduction des gaz à effet de serre, dans l’objectif d’un réchauffement de 2 degrés validé par les accords de Paris.

Sachez que les aliments transformés, gras ou salés ne valent rien ; ce sont des nutriments vides. La transformation détruit les fibres et les oligoéléments tels que les vitamines, les minéraux entre autres. A la composition de certains produits « écrite en lettres minuscules » s’ajoute un nombre considérable de composants indésirables et nocifs. En voici une liste non exhaustive :  colorants, parfums artificiels, conservateurs, émulsifiants, stabilisants, fongicides, pesticides, sucres, sel, soufre, graisses, amidon, petit lait ou en eau salée, pour gonfler, par exemple, le volume du jambon de 20 %.

Que devons-nous manger en 2024 ?

L’industrie alimentaire n’obéit pas aux mêmes lois que les autres industries. Ce n’est pas la technologie qui la régit mais le facteur humain : que veut manger le consommateur ? Pourtant, aucun ou presque ne sait si tel aliment est bon ou mauvais pour lui.

Pour éclaircir les choses, il est bon de garder à l’esprit trois grandes règles de la science de la nutrition. D’abord, il n’est pas simple d’observer les effets de l’alimentation sur les systèmes fonctionnels complexes du corps humain. Ensuite, bien des conséquences d’un type d’alimentation ne prennent effet que sur de très longues périodes, bien plus longues que la durée moyenne de la plupart des études. Cela implique l’utilisation de projections sur la durée d’une vie entière, d’où des risques d’erreurs. Enfin, de nombreuses maladies dites „occidentales” sont si complexes que, selon toute probabilité, elles ne sont pas le fait d’une seule cause et ne peuvent être traitées par un remède unique.

Nos choix #alimentaires sont responsables de plus d’un tiers des émissions de gaz à effet de serre. Nous avons la possibilité de réduire les émissions liées à l’alimentation d’au moins 50% grâce à des choix alimentaires intelligents. Agir en ce sens a plus d’impact que tout progrès technologique.

Pour vous aider à consommer plus responsable, chaque mois la Fête du Goût 2020-2030 #Roumanie vous invite à découvrir, une page du calendrier de saisonnalité des fruits et légumes.

Refus des OGM, pas de fruits et légumes emballés, pas de transport par avion, priorité au local… Avec pour objectif, la réduction de l’impact carbone et la préservation de l’environnement.

Une bonne cuisine, c’est avant tout celle où il convient d’être en harmonie avec la Terre et donc de prendre en compte le rythme de la nature et de la biodiversité.

Que mange-t-on en novembre ? Le site de l’Académie du goût! Suivre le lien! 

Appréhender l’alimentation et ses enjeux de durabilité!

Cette proposition d’une « écologie de l’alimentation » vise ainsi à partager une nouvelle grille de lecture pour penser l’alimentation. C’est un plaidoyer scientifique pour la mise en lien de ses différentes dimensions et pour l’engagement dans la transformation des systèmes alimentaires. Une écologie de l’alimentation vise à nourrir la réflexion des chercheurs et des étudiants, mais peut aussi inspirer les acteurs du système alimentaire ou un grand public averti et curieux des enjeux d’alimentation durable. Elle ne cherche pas à définir un cadre normatif ou de prescriptions sur les « bonnes pratiques » de l’alimentation durable. Il nous semble justement que l’alimentation nécessite d’être pensée en contexte pour tirer parti, au mieux, de la situation considérée. Une écologie de l’alimentation s’apparente plutôt à une « école de pensée  » qui reflète un regard porté sur la complexité de l’alimentation et de ses enjeux contemporains, celui de la Chaire Unesco Alimentations du monde, mûri au cours des dix années de dialogues entre sciences et sociétés sur l’alimentation durable. Les deux chapitres suivants détailleront respectivement les deux propositions qui sous-tendent une écologie de l’alimentation : décloisonner les savoirs sur l’alimentation et s’engager politiquement pour la transformation des systèmes alimentaires.

Les initiatives citoyennes et leur changement d’échelle.

Pendant le premier confinement lié à la pandémie de Covid-19, les références au « monde d’après » se sont multipliées en France. Celui que le passage transformateur de la crise permettrait d’atteindre, celui que les collapsologues appellent de leurs vœux  : un monde plus respectueux de l’environnement, moins prédateur de ressources non renouvelables, garantissant la santé des humains, des non-humains et de la planète, permettant un climat vivable, un monde plus équitable, inclusif, démocratique, etc. (Lancement et Lévêque, 2019). Le grand soir semblait enfin arrivé et de nombreux regards se sont tournés vers ces citoyens qui tentaient déjà d’inventer et d’expérimenter ce monde, au-delà de nouvelles pratiques de consommation, avec de nouvelles façons de produire, d’échanger, de gérer et de gouverner.

Le monde d’après existe-t-il déjà ?

Car depuis des années, ce monde d’après semble en germe sous l’impulsion de citoyens et d’entrepreneurs, comme l’ont par exemple initié les pionniers de l’agriculture biologique ou du commerce équitable. On constate la multiplication d’initiatives très diverses qui cherchent à construire d’autres systèmes alimentaires, fondés sur des principes de recours à des ressources renouvelables, de relocalisation, de réduction du nombre d’intermédiaires dans les circuits de commercialisation, de solidarité entre producteurs et consommateurs, de participation inclusive, de groupements d’achats coopératifs, etc. En France, ce foisonnement d’initiatives fait l’objet d’études et de recensements.
Les acteurs qui portent ces initiatives sont divers mais ont en commun de partir de l’engagement citoyen. Leur statut est très variable selon les législations nationales, les opportunités de financement public et les possibilités de recours au bénévolat. En France, ces acteurs sont regroupés dans l’économie sociale et solidaire (ESS), avec des formes de plus en plus diverses, notamment d’entreprises sociales dont certaines font le choix de s’inscrire dans l’économie de marché capitaliste. Ces acteurs ont en commun de chercher à répondre à une ou plusieurs des préoccupations environnementales, sociales, sanitaires et de gouvernance, qu’ils estiment insuffisamment prises en compte dans les modèles dominants. Ils cherchent à inventer et expérimenter des alternatives, avec un discours souvent contestataire des systèmes alimentaires industrialisés, même si certains s’appuient en partie sur ce modèle. Quasiment toutes ces initiatives sont menées à une échelle locale : celle d’une ferme, d’un atelier, d’un quartier, voire d’une petite ville, et ne concernent souvent que quelques dizaines à quelques milliers de personnes.

Ces initiatives font l’objet d’une abondante littérature scientifique, qui les caractérise et s’interroge sur leur rôle dans la transformation des systèmes alimentaires. Elles constituent ce que de nombreux auteurs qualifient d’innovations sociales, qui couvrent un éventail plus large que les initiatives citoyennes. Ces innovations apportent des réponses nouvelles à des besoins sociaux mal ou peu satisfaits. Elles sont nombreuses à se revendiquer d’une agroécologie comme mouvement à la fois technique, social et politique, et sont souvent analysées, dans le monde anglo-saxon, comme des « réseaux alternatifs d’alimentation ».

Il faut noter que plusieurs de ces initiatives sont originaires de pays à philosophie politique plutôt libérale, où sont valorisés les individus ou les communautés pour prendre en charge des questions environnementales ou sociales : la permaculture a été théorisée en Australie ; les AMAP sont fondés sur le principe des „Community Supported Agriculture” étatsuniens ; les tiers-lieux alimentaires s’inspirent en partie des Centres communautaires d’alimentation au Canada. En France, où l’État est plus interventionniste, l’intérêt pour ces initiatives est plus récent. Dans les domaines agricole et alimentaire, elles ont été longtemps ignorées, que ce soit par les pouvoirs publics, la recherche académique, la formation professionnelle ou encore les institutions de conseil et de financement. Elles ont par contre trouvé un appui avec le développement de l’économie sociale et solidaire (ESS) (Bardot, 2020).

Ces initiatives s’appuient sur certains principes d’actions : respect de tous les savoirs, participation inclusive, émancipation, pouvoir d’agir des personnes vulnérables (Chiffoleau et Paturel, 2016). Elles inventent des possibles et expérimentent des alternatives pour faire la preuve de leur faisabilité et de leurs performances (Lutz et Schachinger, 2013). Pour autant, quel est l’effet transformateur de ces initiatives ? Comment peuvent-elles dépasser le stade d’expérimentations locales et circonscrites pour gagner en importance dans les volumes produits et consommés, pour véritablement influencer massivement et positivement l’environnement, la santé, l’équité sociale et la gouvernance ?

Les innovations sociales dans les pays des Suds

Dans les pays des Suds, une contestation de l’agriculture industrielle émerge aussi, portée en particulier par des organisations paysannes dans la mouvance du mouvement d’origine brésilienne la Via Campesina. L’agroécologie est défendue par de nombreuses organisations de la société civile qui expérimentent sa mise en œuvre avec l’appui croissant de la recherche, comme au sein de The Transformative Partnership Platform on Agroecology. Ces mouvements restent encore relativement marginaux face à la forte pression des acteurs dominants qui cherchent à étendre leurs modèles de production et de consommation dans les pays où émerge une classe moyenne (supposée) attirée par la société de consommation.

Dans les pays des Suds, certaines pratiques agricoles non industrialisées peuvent être considérées « durables  » au sens où elles n’empruntent pas (encore) les trajectoires technologiques de l’agriculture de la chimie, désormais contestée là où elles sont dominantes. Les agriculteurs innovent depuis des décennies en matière de gestion de la fertilité, de la biodiversité, des maladies des plantes et des animaux spécifiques aux milieux. Autant de savoirs inspirants pour trouver des alternatives à l’agriculture conventionnelle. La qualification de ces pratiques pose question, comme cela a été montré pour les productions alimentaires en Ouganda, pays par ailleurs très engagé dans l’agriculture biologique pour les marchés à l’exportation. Qualifier ces pratiques de « traditionnelles » ne rend pas compte de leurs évolutions et des capacités d’innovation des agriculteurs, et risque de les reléguer dans une position de refus de la modernité. Les qualifier d’« agriculture biologique par défaut  », puisqu’aucun produit chimique n’y est utilisé, pose le problème de les comparer à celles de l’agriculture biologique, contrôlée par un cahier des charges et une certification. Les qualifier d’« agriculture conventionnelle », puisque ce n’est que récemment que l’agriculture de la chimie se développe dans ce pays, pose le problème de la confusion avec l’agriculture conventionnelle des pays industrialisés. Les femmes qui la pratiquent parlent d’agriganda, raccourci de « agriculture  » et « Ouganda », désignant une pratique que l’on pourrait qualifier d’« agriculture de terroir » (Bendjebbar, 2018).

On observe le même phénomène dans la transformation et la commercialisation alimentaires. L’artisanat alimentaire, le commerce de rue ou les marchés de quartier subissent la concurrence des plus grandes industries internationales et des supermarchés. Cette industrialisation est critiquée pour les risques de pertes d’emplois qu’elle fait courir, mais aussi plus récemment pour ses effets négatifs sur l’environnement, la santé ou la gouvernance des systèmes alimentaires. L’artisanat et le commerce « informels » apparaissent alors comme un modèle à soutenir.

Pour une (trans)formation aux systèmes alimentaires durables

Plusieurs études ont récemment analysé la question de la formation à la transition, au sens large de transition écologique et sociale, dans l’enseignement supérieur. Le Campus de la Transition, créé en 2018 par un collectif d’enseignants-chercheurs, d’entrepreneurs et d’étudiants, est un lieu de formation mais également un laboratoire de recherche travaillant « sur de nouvelles pratiques pédagogiques pour enseigner des pensées complexes et des processus de changement systémique ». Pour répondre à une étude commanditée en 2019 par le ministère français en charge de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, ce laboratoire a coordonné un collectif pour « travailler de manière interdisciplinaire à l’élaboration d’un socle commun de connaissances et compétences auxquelles tout étudiant de licence devrait pouvoir avoir accès ». Le résultat de ce travail (Renouard et al., 2020) établit un « parcours » comprenant différentes « portes » qu’un citoyen, un étudiant individuellement ou un programme d’enseignement pourront emprunter : « acquérir une vision systémique pour habiter un monde commun (oikos) ; discerner et décider pour bien vivre ensemble (ethos) ; mesurer, réguler et gouverner (nomos) ; interpréter, critiquer et imaginer (logos) ; agir collectivement à la hauteur des enjeux (praxis) ; se reconnecter à soi, aux autres et à la nature (dynamis) ».

Conclusion

Qu’il s’agisse de formation ou de recherche, un grand nombre d’acteurs se mobilisent aujourd’hui pour à la fois répondre aux enjeux de l’alimentation durable et tenter de le faire autrement. Diverses approches philosophiques ou épistémologiques fournissent des pistes pour penser ces évolutions nécessaires. Par exemple, les sciences de la durabilité cherchent à articuler les savoirs pour transformer les systèmes et les approches complexes (Morin, 1990), et à étudier les agencements et les combinaisons. Le concept de « rhizome » (Deleuze et Guattari, 1976 ; 1980) propose un modèle de représentation de l’organisation sans subordination entre les éléments. Il est une forme de résistance aux modèles hiérarchiques que les auteurs jugent oppressifs. Toutes ces approches montrent que changer les façons de se représenter le monde est déjà une façon d’initier son changement.

Bon pour le goût, bon pour la santé, bon pour la #planète !

Bun pentru gust, bun pentru sănătate, bun pentru #planetă!

Implica o alimentație plictisitoare, monotonă? Dovediți că vă înșelați luna aceasta!

Încearcă să aplici dieta Adevărata, Vegetală și Variată la mesele tale festive și de familie!

– Consumul unui produs sezonier înseamnă:

  • Mai bine pentru sănătate
  • Gust si prospețime
  • Bine portofelului nostru
  • Sprijinirea fermierilor din regiunile noastre
  • Reduceți impactul nostru asupra mediului
  • Faceți descoperiri culinare

– Consumul unui produs în afara sezonului înseamnă:

  • Favorizează utilizarea pesticidelor
  • Generarea unui bilanț negativ de carbon din cauza transportului de mărfuri
  • Un produs cu gust slab și fără beneficii nutriționale pentru sănătate
  • Mai scump
  • Un dezastru ecologic pentru planetă

Tot pentru a alege cu bună știință, trebuie să fii informat pentru a cunoaște adevărul despre ingredientele care compun preparatele.

Avem dreptul să știm ce mâncăm în deplină transparență și într-un mod de înțeles și ar trebui să fie o obligație pentru toate mărcile alimentare să respecte cetățeanul consumator!

Quand la conscience du choix est là, la liberté de se nourrir l’est aussi.

Pour cette rentrée, nous allons préciser, après dix années de „Fête du goût”, quelques points, apporter quelques réflexions et retour après nos différentes rencontres autant avec les partenaires potentiels que les institutionnels.

Notre seule vocation est de donner un peu à réfléchir aux enfants avant qu’ils ne soient complètement empoisonnés par la mal bouffe promue à grands renforts de publicité par l’agro-industrie.

Cela fait partie d’une mission de bien commun qui faisait déjà sens dans les années ’70, sans que les lanceurs d’alerte de l’époque aient été entendu. Aujourd’hui il est devenue primordial et vitale de parler de bio économie, de permaculture, d’agroforesterie et d’économie qui ne prenne pas en compte uniquement le Chiffre d’Affaires des entreprises, mais leur engagement pour une planète soutenable. Quel que soit la direction professionnelle des jeunes générations que nous rencontrons, il est quasi certain, qu’il restera un petit déclic dans la tête concernant le pouvoir de la fourchette au quotidien pour le plaisir des papilles, leur santé à long terme et la conservation du vivant.

La fête du goût souffle ses 10 bougies en 2024, aussi un pas important a été réalisé grâce à l’implication de la Fondation Auchan en 2024.

C’est auprès des chefs étoilés et des maisons de tradition que j’ai continué d’apprendre pour mes articles exclusifs via des journées de stage en cuisine, mais aussi grâce à mes expériences de restaurants autopromus « fine dining », mes rencontres dont celle avec Radu Anton Roman, l’auteur de « Savoureuse Roumanie » et mes activités de conseils. La désagrégation des écoles publiques comme Viilor et Calimanesti m’ont convaincu qu’il y avait un réel besoin en matière d’éducation aux fondamentaux du goût. En 2023, nos actions se sont concentrées sur l’organisation des „Classes de goût” dans 21 villes de Roumanie et, pour les années à venir, dans toutes les écoles du système scolaire. Nous avons aussi permis la distribution dans les écoles primaires de la brochure pédagogique pour tous les élèves de classe 3 et du livre „L’art de bien manger” d’Alain Alexanian (édition II – 2023) pour les cadres didactiques. Mais nous avons aussi organisé „les Classes du goût” chez les partenaires pour les enfants des employés et une conférence anti-gaspillage avec le gouvernement.

Le livre blanc de Sarbatoarea Gustului

Le Livre blanc est une synthèse des recommandations à destination de tous les niveaux de pouvoir car nombre de politiques influencent l’accès à une alimentation de qualité. Ces recommandations visent à:

  • améliorer la gouvernance en matière d’alimentation;
  • agir sur la qualité de l’offre (en agissant sur les pratiques de l’agro-alimentaire, en promouvant des produits de qualité, en améliorant l’offre dans les collectivités);
  • améliorer l’accès à une alimentation de qualité des personnes en situation précaire;
  • et enfin, informer, sensibiliser et outiller les publics en matière d’alimentation.

Un projet d’éducation alimentaire inclusif essentiel pour l’agriculture, le bien-être des citoyens et les ressources de la planète.

Projet national visant à établir une éducation inclusive favorisant la sensibilisation à la nutrition. Un plus pour sensibiliser à l’ambitieux projet d’une Roumanie « Jardin vert de l’Europe ». Nos achats alimentaires du quotidien favorisent l’économie en impactant le réchauffement climatique, la biodiversité et le vivant. Par conséquent, acheter de manière responsable ce que nous ingérons impact autant notre santé que l’avenir de la planète.

Pourquoi manger de saison, un guide pratique ultra complet avec Greenpeace.

 

 

Parce que l’oeuf, s’il n’est pas dalinien, doit être traçable au premier coup d’oeil pour le consomm’acteur citoyen.

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