Pentru Cioran, mâncatul: un ritual, un act de civilizație, o poziție filozofică.
For Cioran, eating: A ritual, an act of civilization, a philosophical position.
Pour Cioran, manger : Un rituel, un acte de civilisation, une position philosophique.

Devoir de vacances et humeurs bienveillantes

Pourquoi détruisons-nous la vie sur terre ?

par Alain Grandjean ; Chroniques de l’anthropocène

De la culture du « No limit » et du « Tout tout de suite », aux origines de l’occident chrétien à l’anthropocentrisme illimité.

Le refus des limites se décline en croyances globalement partagées au sein de la civilisation occidentale :

  • la science et la technologie résolvent tous les problèmes ;
  • tout ce qui est concevable scientifiquement doit être recherché et expérimenté ;
  • les produits doivent être toujours nouveaux, sont donc vite obsolètes (gaspillage sans limite) et de plus en plus jetables ;
  • l’innovation incessante est le moteur du progrès et de la satisfaction ;
  • il est interdit d’interdire ; tout est possible ;
  • l’art lui-même se doit d’être transgressif.

Chacun d’entre nous, en France, dans son quotidien, s’il n’est pas pauvre ou très pauvre, est maître de ses choix. Et a accès à une profusion de biens ; dans de nombreuses situations, médicales, d’urgence, de solitude non désirée, etc. nous faisons des choix sans tenir compte (inconsciemment ou pas, peu importe) des conséquences environnementales de nos gestes. Peut-on refuser des soins ou des cadeaux (éventuellement coûteux écologiquement et généralement impactant l’environnement) à ses proches, ne pas les voir (donc prendre l’avion car le temps manque pour faire autrement ou qu’il n’y a pas d’alternative) ; peut-on se refuser un voyage touristique après une année de boulot stressante voire épuisante etc.

  • Il est presque certainement trop tard pour limiter la hausse de la température à 2°C par rapport à sa valeur préindustrielle, comme nous le disent les scientifiques. La contamination des océans par les microplastiques est irréversible. Notre planète est devenue toxique. La destruction de la nature et des êtres vivants s’accélère de manière affolante, ce qui fait employer à des chercheurs très qualifiés les termes de sixième extinction et d’anéantissement de masse.

 https://alaingrandjean.fr/2022/07/26/detruisons-vie-terre/

 « La destinée des nations dépend de la manière dont elles se nourrissent. »

La France est tout de même le troisième plus gros utilisateur de pesticides au monde… Et on y trouve aussi l’une des plus fortes concentrations de McDonald’s.

Ne plus faire la queue à un drive de Fast-Food, mais apprendre à mieux manger dans un restaurant d’état (inspiré des cantines publiques de Ceaucescu) servant des repas équilibrés à toute la population des quartiers. La rééducation avec la systémisation de l’alimentation pour moins de pénurie, de gaspillages ! Je blague…😋

Et maintenant passer à l’action : Rénovation, révocation, révolution…

Le boycott collectif et le faire soi même

Mea culpa : C’est d’une américaine qu’est parti la « Révolution délicieuse » en 1971 dont Olivier Roellinger s’est fait l’écho en France en 2019.

Alice Waters : « La cuisine peut changer le monde ». Véritable star aux États-Unis, elles est considérée comme une chef visionnaire. À l’occasion de la sortie en France de son ouvrage en 2018, « L’Art de la cuisine simple » Lorsque j’ai ouvert Chez Panisse, les premiers Français qui sont venus manger m’ont dit: «Ce n’est pas de la cuisine, c’est du shopping.» Je crois que je suis trop déterminée, trop forte et entière. Je ne peux pas m’en empêcher: je me soucie tellement du futur de la planète. La France est tout de même le troisième plus gros utilisateur de pesticides au monde… Et on y trouve aussi l’une des plus fortes concentrations de McDonald’s.

Que faire pour promouvoir une meilleure nourriture ? Vous devez vous occuper des enfants quand ils ne sont pas plus hauts que ça. Vous pouvez toujours éduquer les adultes, mais c’est plus dur.

 « Slow Food est né avec Brillat-Savarin ! » « Les chefs français ont souvent l’impression qu’il faut faire compliqué pour être réputés. Alors que faire simple est ce qu’il y a de plus difficile car cela exige des ingrédients parfaits »

Il aura tout de même fallu plus de dix ans pour qu’il soit enfin disponible dans l’Hexagone, les préceptes pourtant limpides d’Alice Waters sonnent comme des évidences chez nous. Parce que les jeunes générations se montrent plus engagées et réceptives, selon elle, que leurs aînés. Sans doute aussi «parce que les chefs français ont souvent l’impression qu’il faut faire compliqué pour être réputés, ajoute-t-elle avec malice. Alors que faire simple est ce qu’il y a de plus difficile car cela exige des ingrédients parfaits ».

Marquée par son séjour en France, lorsqu’elle a débarqué, jeune étudiante à Paris, dans les années 1960. Elle est tombée instantanément sous le charme de la gastronomie française. L’industrialisation de la nourriture n’était pas encore un sujet, les chaînes de fast-food n’avaient pas non plus essaimé leurs burgers aux quatre coins de la capitale. Tout l’émerveillait : la baguette de pain bien sûr, mais aussi les fruits frais, les huîtres que l’on gobait à même la coquille, les confitures et les tartes au citron. Des découvertes qui ont nourri son envie de devenir à son tour cuisinière et de développer cette approche du produit sain et «tracé» dans son propre restaurant.

« C’est primordial d’initier les enfants à la culture du bon produit, de leur apprendre à être proche de la nature »

Sa «révolution délicieuse», à la fois volontariste et pacifique, coïncidait avec les années hippies et les mouvements libertaires, « C’est primordial d’initier les enfants à la culture du bon produit, de leur apprendre à être proche de la nature», répète-t-elle à l’envi. Car ce sont ces mêmes enfants qui, adultes, s’impliqueront dans la recherche d’une alimentation plus saine et responsable. «C’est vrai, cela demande un certain engagement, poursuit-elle. Il faut rencontrer des fermiers, parler avec eux, goûter leurs produits. Mais c’est aussi l’assurance d’aider une économie locale et d’avoir des denrées de très grande qualité qui ne soient pas du bio venu du bout du monde. »

« Notre façon de nous nourrir, les aliments que nous ingérons déteignent sur notre être, notre rapport au monde »

Depuis 2002, cette locavore de la première heure est vice-présidente de Slow Food International, si les adhérents se comptent aujourd’hui par dizaines de milliers à travers le monde, elle affirme que les acteurs et sympathisants sont en réalité beaucoup plus nombreux. Vous, les Français, avez à cœur d’être autonomes par rapport à vos voisins. Quoi qu’il en soit, nous savons bien, que la philosophie Slow Food est née en France avec Brillat-Savarin.

Dis-moi ce que tu manges, je te dirai ce que tu es ?» Cet aphorisme figurait dans sa Physiologie du goût, en 1825.

En France, la politique s’est emparée de la cuisine comme d’un enjeu culturel et économique national.

« Nous sommes ce que nous mangeons » Cela signifie que lorsque vous mangez un plat, vous mangez ses valeurs

Donc quand vous mangez un hamburger de McDonald’s dans votre voiture, vous digérez l’idée qu’il est normal de manger dans une voiture ; que l’endroit d’où viennent les produits et la personne qui les a cuisinés n’importent pas ; qu’il n’y a aucun problème à consommer la même nourriture partout sur la planète ; que tout doit être rapide, bon marché et facile. La nourriture devrait enseigner d’autres valeurs.

Franchement, travailler avec des produits locaux change une cuisine. Chercher la nourriture chez nos paysans a changé mon mode de pensée. Je ne prévois pas le menu, je parle d’abord au fermier. C’est lui qui travaille à ma place.

Derrière le « locavore », on peut aussi voir beaucoup de discours, un «storytelling» propre à séduire les journalistes et les clients…

Nous mangeons de moins en moins en pensant à la nature. Alors que la nature est notre mère.

Le goût, quand vous prenez un légume quelque part et que vous le plantez ailleurs, il ne sera pas identique, mais il pourra développer des caractéristiques uniques. Quand un sol est réellement riche, les légumes possèdent quelque chose qui va au-delà de la saveur. Ils sont nourrissants !

Plaidons pour l’apparition d’un nouveau genre de restaurants, des lieux tenus par des familles ou des groupes d’amis, qui sont abordables, qui reflètent réellement notre mode de vie, qui n’essaient pas de gagner beaucoup d’argent, d’avoir du succès ou d’étendre leurs adresses dans le monde entier. Voilà une manière de penser durable.

C’était de la merde ! pestait Jean-Pierre Coffe et c’est de plus en plus de la merde cette barbaque sous préservatifs. 

Avec le réchauffement, nous buvons à peu près tous de l’eau tiède, avalons des couleuvres ! Plus de colère, plus d’emportement, il faut du consensus, de la bienveillance, de l’encadrement qui met en exergue la fameuse et utile « démarche de progrès » des marketeurs, afin de tronquer un peu plus les messages de santé.

Tout le monde sait à peu près ce qu’il y aurait lieu de faire, d’entreprendre, reste à ménager les intérêts des uns et des autres, toujours plus de profits au détriment du naturel, du vivant, du régénérable, c’est plus possible, donc inutile de noyer le poisson avec un énième argument de derrière les fagots pour préserver les corporatismes et leurs grasses subventions ! N’est-ce pas la FNSEA ?

Manger vrai, végétal et varié, ce n’est pas forcément dans les intérêts de la grande distribution bien heureuse d’avoir fait admettre aux politiques son bio « pognon » sur ses étals pour le soi-disant bien manger du plus grand nombre !

Une analyse du livre d’Anthony Fardet ; Halte aux aliments ultra transformés.

https://moins-sucre-plus-epice.com/aliments-ultra-transformes/

Quant à la grande idée d’éducation au goût par des chefs volontaires dans les écoles, née en 1990 à l’initiative du journaliste gastronomique Jean-Luc Petitrenaud s’est transformée en semaine commerciale. Sous l’impulsion du lobbying du sucre et de publicitaires aux dents longues, avec la bénédiction des institutions, jouant sur la gourmandise de chefs volontaires pour toujours plus de médiatisation, c’est la grande distribution qui encore une fois tirait les ficelles avec ses marques à fortes marges faisant de la promotion „stop rayon” durant une semaine commerciale, plus synonyme de semaine Junk Food que pour le goût vrai et le mieux manger en toute transparence. Une belle rente annuelle pour les morfalous de la publicité et une notoriété acquises grâce à l’engagement des chefs ayant gracieusement offert de leur temps.

L’agro-industrie : « Ils voudraient qu’on soit intelligent et ils nous prennent pour des cons. Comment on fait ? », se demandait Coluche.

A force de petits arrangements entre amis, de mélanges de genres, services rendus à charge de revanche au frais de la communauté, copinages divers et variés, les chefs au col Bleu Blanc Rouge sponsorisés par des marques pas toujours recommandables. Si vous rajouter à la confusion des messages « Feeding the planet, energy for life » en 2015 sponsorisé par le plus gros fournisseur d’huile de palme chocolatée ! Le tableau est complet pour que les gueux n’y comprennent plus rien à l’alimentation !

« Bien manger », ça a un coût et il ne faut brader l’alimentation au profit de marges toujours plus indécentes de la grande distribution.

On écrase les marges des agriculteurs en laissant croire que cela va améliorer la consommation du citoyen sollicité par toujours d’imposture publicitaire. Il faut sortir de ce drame quotidien qui touche de plus en plus de foyers modestes, au pays de la gastronomie, il ne peut plus coexister une alimentation à deux vitesses.

Continuer de débattre, assister à des webinaires, des conférences bien orientées sans que rien ne bouge jamais malgré l’urgence et les 12 millions de français qui n’ont ni la capacité financière, ni la culture pour se nourrir correctement !

Entre ingénieurs agronomes, intervenants experts divers et variés, fonctionnaires délégués, lobbyistes infiltrés, auteurs à succès, chefs engagés, responsables d’associations qui déclinent le mieux manger sous tous les tons et les conjuguent à tous les temps, il y a urgence à agir. Signer des manifestes pour une éducation indépendante et complète dans les écoles tout au long de son parcours scolaire, le politique doit maintenant avoir le courage et l’audace de faire bouger les lignes.

Quelle audace de la part du premier ministre pour réformer l’enseignement du bien manger dans les écoles dés septembre 2022 ?

  • Des pénuries qui vont s’intensifier
  • Des super profits de la GMS et toujours cette propension à s’attacher à communiquer sur des valeurs entretenues pour rassurer le chaland avec du Pinkwashing, du Greenwashing sans parler de son coeur de métier et de vraiment s’engager pour une transformation qui irait dans le sens d’une culture du goût vraie pour le plus grand nombre.
  • Des incertitudes de nos politiques publiques quant à un réel désir de justice quant à la qualité de notre nourriture.
  • Ce cumul de crises alimentaires démontrent un laisser aller des autorités comme un manque de respect pour les consommateurs, avec des auto contrôles qui ne sont que des croquis de bonnes intentions.
  • Des maquignons qui vont continuer d’empoisonner les terres encourager par les subsides de Bruxelles et le lobbying des grands semenciers et chimiquiers.
  • Des conflits d’intérêt à la pelle et une confusion des genres permanente.
  • Des corporatismes qui bloquent toute réflexion, toute avancée, toute initiative qui va dans le sens du bien commun

Comment passer à l’action sur différents plans, autant pour diminuer sa consommation de carbone, lutter contre le gaspillage, manger sainement et faire du lobbying auprès des marques aux profits exubérants, toujours aussi championnes du greenwashing. 

  1. S’informer auprès des chefs, des associations, apprendre à lire les étiquettes
  2. Acheter intelligent chez les producteurs, les AMAP, les circuits courts et le minimum dans la grande distribution.
  3. Réapprendre à cuisiner et faire ses conserves, ses pâtés, se désintoxiquer des produits carnés.
  4. Inspirez-vous des labels et logos de qualité, même si le nutriscore n’est pas la panacée, il y a le Planet score, les labels traditionnels AOP, IGP…Et il y a surtout l’abandon des tous les produits ultra transformés avec plus de 5 ingrédients.
  5. Bien manger coûte plus cher que ce que laisse entendre les impostures publicitaires, votre panier ne peut pas être low cost, sinon c’est votre santé qui à long terme vous jouera des tours.
  6. Soutenir les actions (foires, salons…) réellement indépendantes si possibles régionales et pas les grands messes où se pressent les people sponsorisés par des grandes marques qui vendent aux quatre coins du monde en favorisant les dividendes à des gens qui ne font que spéculer avec le vivant.
  7. Et où en est -on avec le droit à l’éducation à l’alimentation pour tous les enfants. Ce parcours éducatif devrait reposer sur quatre piliers, couvrant l’ensemble de la chaîne alimentaire (de la fourche à la fourchette, donc), et s’étaler sur les périodes école et collège, en s’appuyant fortement sur la pratique • Apprendre à cultiver (pour se reconnecter aux produits agricoles de base)  • Apprendre à cuisiner (savoir-faire des recettes simples pour les repas de tous les jours) • Apprendre à goûter (reconnaitre les différentes saveurs, savoir associer les mets) • Apprendre à choisir (comprendre les interactions entre santé et alimentation) Pour donner corps à cet enseignement, il conviendrait d’instaurer une étape symbolique : la validation des acquis à l’issue du cycle 4 (cinquième, quatrième, troisième). Nous devons ce droit à l’éducation à l’alimentation à nos enfants.
  8. Limiter le développement de la restauration rapide et ses concepts qui ne sont que des visions financières de la restauration.
  9. Demander aux nouveaux restaurateurs de prévoir un business plan avec 50 % de produits frais, locaux sur leur carte avec une formation afférente et les personnels formés pour servir avec les nouvelles contraintes de salaires de conditions de travail.

https://www.openagrifood-orleans.org/wp-content/uploads/manifeste_education_a_lalimentation_VF-3.pdf

Prévoir les crises et les pénuries, faire ses conserves est une décision sage en 2022 pour manger sain, local et se détacher de la malbouffe.

1 Pour profiter des produits au meilleur moment ; Vous pouvez conserver les produits au cœur de la saison, vous respectez ainsi le cycle de la nature et de la planète ! L’été est la saison des tomates, haricots verts, cerises, pêches, abricots, mais ils ne resteront pas longtemps sur les étals ou dans les jardins. En réalisant vos conserves maison à ce moment-là, vous capturez toutes les saveurs des produits quand ils sont les meilleurs et naturellement matures. Vous pourrez ainsi en profiter tout le reste de l’année ! N’oubliez pas que c’est en pleine saison qu’un produit est le moins cher

2 Pour préserver les goûts, les saveurs, les nutriments ; Contrairement à d’autres procédés de conservation, comme la congélation qui peut altérer les aliments en les déshydratants, la conserve maison préservera de façon intacte les goûts, les textures et les saveurs de tous vos aliments et de vos préparations.

3 Manger sainement ; Faire ses propres conserves, c’est aussi maitriser l’ensemble des ingrédients de votre recette. C’est le processus du traitement thermique (stérilisation) qui va assurer la conservation, pas les additifs ! Ainsi vos préparations seront sans conservateur, avec pas trop de sel, ni trop de sucre, et sans exhausteurs de goût. Elles ne contiendront que ce que vous avez décidé d’y mettre et seront 100% naturelles…!

4 Afin de ne plus gaspiller ; Des fruits et légumes qui s’abîment ? Trop de fruits ou trop de légumes ? Un jardin trop généreux ? Surtout ne jetez rien et faites des conserves. Grâce aux bocaux, vous avez le pouvoir de conserver pendant longtemps tout ce que la nature vous offre, alors profitez-en !

5 Une praticité difficilement égalable ; Des invités qui débarquent à la dernière minute, un pique-nique improvisé, ou juste pas très envie de cuisiner ce soir… ? Hop, il vous suffit juste d’ouvrir votre placard, choisir un bocal, faire réchauffer la préparation, et c’est prêt. Et pour l’option pique-nique, choisissez de bons pâtés et quelques bocaux de cornichons ou de tomates séchées, il ne vous restera plus qu’à les mettre dans votre joli panier. N’oubliez pas que les bocaux sont facilement transportables, vous les emmènerez partout !

6 pour un plus de convivialité ; Faire ses conserves maison à plusieurs, c’est passer à coup sûr un bon moment avec ses proches. Profitez-en pour organiser une balade et faire la cueillette tous ensemble, et ensuite c’est atelier confiture ! C’est l’occasion de transmettre votre savoir-faire à vos proches et de leur faire découvrir vos recettes, mais aussi un moment de partage avec les enfants qui pèseront et compteront tout en s’amusant.

7 Jamais en panne de courant ; Une panne de courant, ça n’arrive pas qu’aux autres ! Mais pas de panique, les bocaux se conservent sagement dans vos placards et n’ont besoin d’aucune source d’énergie.

8 Pour dire : C’est moi qui l’ai fait ; Faire ses conserves, c’est pouvoir s’exprimer et laisser libre court à sa créativité ! Au travers d’une recette, on révèle ses goûts et sa personnalité. Et quel plaisir d’offrir à ses proches une préparation en conserve qu’on a concocté avec amour…

9 parce que le verre est le meilleur des contenants ; Naturel, résistant, étanche et recyclable à 100% et à l’infini, le verre est le plus sain des conditionnements, il est aussi complètement neutre au goût. Son design et ses valeurs d’authenticité sont appréciables. Il n’a vraiment rien à cacher

Pourquoi faut-il manger varié ?

Tout d’abord, pour éviter les déficits en vitamines, nutriments etc. Pour les fruits et légumes, des études montrent que c’est la variété plus que la quantité qui compte pour la santé. Cela est dû à la synergie et l’effet cocktail positif expliqué plus haut.

Un composé isolé, que ce soit en complément alimentaire ou inclus dans un aliment ultra transformé enrichi en vitamine ou autre, n’améliorera pas la santé sur le long terme. Il peut parfois, au contraire, être néfaste en trop grande quantité.

Enfin, la diversité de l’alimentation participe à la durabilité du système alimentaire.

https://moins-sucre-plus-epice.com/aliments-ultra-transformes/

„Bien manger, ça a un coût”: Le chef Thierry Marx veut surtaxer les produits „Ultra-transformés”.

„Le drame aujourd’hui, c’est qu’il y a une alimentation à deux vitesses. Il y a ceux qui peuvent se nourrir avec des circuits-courts et mettre de l’argent pour bien manger et ceux qui subissent le fait de s’alimenter et les dégâts que cela fait sur la santé”.

ttps://rmc.bfmtv.com/actualites/societe/sante/bien-manger-ca-a-un-cout-le-chef-thierry-marx-veut-surtaxer-les-produits-ultra-transformes_AV-202207110287.html

Dernière Rénovation au C3D

https://entreprisecontributive.blog/2022/07/29/derniere-renovation-au-c3d/?fbclid=IwAR2f6_Nuong3axcBA1qRbRa5LfsTIA4odiAh41zOKVsq3DOkah0aj8PvFE0

Agriculture, alimentation, environnement, santé : à quand des politiques enfin cohérentes ?

Les acteurs des politiques publiques se disent conscients de l’urgence à lutter contre les pollutions, la perte de biodiversité, le changement climatique et contre les maladies chroniques liées à l’alimentation et à l’environnement. Les politiques propres à chaque ministère n’abordent cependant souvent qu’une facette de ces problèmes, très interdépendants.

Ces politiques en silo échouent souvent à atteindre les objectifs qu’elles se sont fixés ou génèrent des effets rebonds, c’est-à-dire des effets indésirables dans un autre domaine.

https://theconversation.com/agriculture-alimentation-environnement-sante-a-quand-des-politiques-enfin-coherentes-184097

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