Sarbatoarea Gustului 2020 – 2030 / La fête du goût / Fiesta del Gusto ; Pour l’éducation inclusive au mieux manger durable en Roumanie.
Pentru Cioran, mâncatul: un ritual, un act de civilizație, o poziție filozofică.
For Cioran, eating: a ritual, an act of civilization, a philosophical position.
Pour Cioran, manger : Un rituel, un acte de civilisation, une position philosophique.
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La „Fête du goût”, une initiative éducative qui provoque le libre arbitre des jeunes élèves afin qu’ils deviennent des citoyens consomm’acteurs éclairés.
Quand la conscience du choix est là, la liberté de se nourrir l’est tout autant.
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À propos de la Fête du Goût et de sa devise : Devise : Bon pour le goût, bon pour la santé, bon pour la planète !
Les 4 AS de l’éducation à la gastronomie durable : „Assiette sapide, apprentissage sécurisé, affabilité sensorielle, avenir séduisant”.
L’Association Sărbătoarea Gustului se préoccupe de sensibiliser aux goûts vrais les consommateurs auprès des enfants et des parents, des lycéens et des jeunes générations de chefs à travers l’information et la transparence pédagogique sur les produits, leurs origines et la transparence des modes de production ainsi que des repères quant à la traçabilité. L’Association vise également à transmettre des connaissances et à encourager un comportement alimentaire diversifié, équilibré, sain et durable pour une vie meilleure, plus saine et plus heureuse.
A propos de la Fondation Auchan : La Fondation Auchan promeut en priorité l’accès à une alimentation bonne et saine pour les plus démunis, avec tout ce que cela implique : le plaisir de manger bon et sain, la préservation de l’identité et des traditions culinaires et les interactions sociales. Ainsi, la lutte contre l’insécurité alimentaire vise à garantir l’accès à des produits sûrs, diversifiés, de bonne qualité et en quantité suffisante aux personnes en situation de vulnérabilité économique ou sociale. Par ailleurs, partout dans le monde, Auchan développe des projets pour une alimentation saine en collaborant et en soutenant les producteurs locaux, en développant des gammes de produits à marques propres plus saines et plus respectueuses de l’environnement ou en diversifiant l’offre de produits bio.
Pour ne pas oublier tout au long de la vie que la biodiversité, c’est l’essence même de la vie. Ce mot, si vous le séparez en deux, il est l’objet du combat pour le mieux manger durable. Ce qui est détruit l’est pour toujours mais ce qui est en danger peut encore être sauvé…Enrichir son microbiote c’est avant tout lui apporter ce dont il a besoin pour se multiplier. Les fibres alimentaires sont un apport important pour son carbone et son énergie mais la diversité des mets reste l’élément le plus important.
Nous sommes devenus sédentaires, nous devrions donc manger mieux et réduire la quantité de nos aliments. Quant à la «junk food», à proscrire absolument parce que pas assez de vitamines et minéraux et bien trop de sucres, de sel et de graisses.
Alors, ne vaudrait-il pas mieux choisir une vie saine loin des pollutions et des médicaments ?
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« L’instauration d’une éducation à l’alimentation obligatoire et généralisée sur le temps scolaire est essentielle. Cette politique publique volontariste doit être mise en place dans les écoles primaires avec la conclusion de contrats Etat-régions. Il en va de la cohésion de l’Europe, de l’avenir de ses agriculteurs et de ses spécialités gastronomiques ».
Guillaume Gomez ; Représentant personnel du Président de la République auprès des acteurs et réseaux de la gastronomie et de l’alimentation. Monsieur Guillaume Gomez, 24 ans chef de l’Elysée nous a apporté son soutien en signant notre première toque collector en 2014 avec Monsieur Bocuse et en 2015 pour Le club des chefs des chefs. C.C.C. Cuisiniers des rois, princes et présidents de la planète.
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La thermodynamique, cette science méconnue dont dépend la transition écologique.
L’enjeu de transition écologique et énergétique de nos sociétés est désormais bien connu de nos contemporains : il va falloir exploiter différemment nos ressources – en particulier énergétiques – pour minimiser nos émissions de gaz à effet de serre et notre pression environnementale sur la planète.
À écouter certains, il suffirait de promouvoir l’innovation pour que nous puissions tous circuler en voiture électrique ou à hydrogène sans émettre de CO2. Mais est-ce vraiment aussi simple ?
« Rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme. » Cette citation, souvent attribuée au chimiste du XVIIIᵉ siècle Antoine Lavoisier, résume bien les principes de la thermodynamique, qui étudie les transformations de la matière et les conversions d’une forme d’énergie à une autre. L’article
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Des nouvelles ouvertures aux anniversaires poignants et aux festivals jubilatoires, ces aventures et expériences méritent votre attention en 2025
La liste Good To Go 2025 représente les moments les plus passionnants de ce que le voyage peut offrir au voyageur curieux, intrépide et responsable . Des anniversaires marquants aux événements culturels révolutionnaires , cette liste nous rappelle que les voyages nous permettent de rester connectés au monde et les uns aux autres. Il s’agit de s’engager dans des lieux d’une manière qui célèbre le patrimoine , soutient les communautés et donne vie aux histoires . Lorsque nous visitons des destinations de manière réfléchie, nous découvrons non seulement leur beauté et leur culture, mais nous contribuons également à leur croissance et à leur résilience. En visitant ces 25 pays, villes et régions Good to Go, vous avez la chance unique de faire partie de quelque chose de significatif.
Lorsque nous réfléchissons de manière réaliste à ce qu’est un voyage durable, il est souvent utile de considérer d’abord ce qu’il n’est pas. Un voyage durable ne consiste pas à traverser un océan en bateau plutôt qu’en avion, par exemple. Bien sûr, les émissions de carbone d’un voilier sont insignifiantes comparées à celles d’un avion, mais un voilier va-t-il changer l’industrie du voyage ? Je crains que, s’il n’est accessible qu’à une poignée de personnes, il ne le fasse pas.
C’est pourquoi cette deuxième édition annuelle de la Travel Green List ne se résume pas à rêver de réduire à zéro les émissions liées aux voyages. Il s’agit plutôt de reconnaître la nécessité de modifier en profondeur des dizaines de pratiques apparemment anodines dans des dizaines de types d’entreprises et des dizaines de choix personnels. Et il s’agit de rendre hommage à ceux qui répondent « oui » au défi avec enthousiasme, même à ceux qui partent d’un niveau peu élevé.
En tant que rédacteurs, nous avons fouillé dans nos notes de voyage pour trouver des exemples remarquables provenant du monde entier. Et nous avons été réconfortés de voir des centaines de propositions inonder notre boîte de réception concernant les sept continents. Pour évaluer ces lieux, organisations et projets, nous avons recruté six juges experts – parmi lesquels des professeurs d’université, des entrepreneurs et des journalistes et auteurs primés – pour nous aider à examiner et à étudier les candidatures. Ces candidatures mettent en avant la réduction et l’élimination du carbone, l’emploi et l’éducation significatifs pour les populations locales, et des moyens innovants de soutenir la biodiversité – de la restauration des récifs coralliens à la conservation des lucioles en passant par les safaris photo de gros gibier – pour ne citer que quelques facteurs.
Veuillez noter que même si toutes les candidatures ont été examinées par notre jury expérimenté, nous nous appuyons dans une certaine mesure sur les informations fournies par les organisations nominées et ne pouvons donc pas être tenus responsables d’éventuelles inexactitudes extérieures. Cependant, nous sommes ici pour célébrer leurs réalisations bien méritées en matière de développement durable.
Après un processus de sélection rigoureux, nous espérons que la Travel Green List de cette année sera une source d’inspiration pour nous tous, tant en termes de choix puissants que nous pouvons faire lors de nos voyages que des changements que nous pourrions être en mesure d’apporter également dans nos communautés.
Texte de Ketti Wilhelm, Gareth Clark, Karen Edwards, Lyn Hughes.
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Sinaïa
Sinaïa, résidence montagnarde des rois de Roumanie, jusqu’à l’arrivée de Ceausescu…
Entre légende, histoire, snobisme et cuisine française.
Un article du Figaro de 2008 qui aide à la compréhension de la Roumanie d’aujourd’hui.
Sinaïa, la perle des Carpates
Connue par beaucoup aujourd’hui plutôt comme station de vacances d’hiver, station de ski ou destination de vacances de luxe, la ville de Sinaia, à seulement 120 km de Bucarest, est un véritable musée à ciel ouvert avec près de 100 monuments existants. Ville roumaine la plus riche en monuments historiques par rapport à la densité de population, ses joyaux architecturaux font honneur à son surnom de “Perle des Carpates”. Si vous vous promenez dans Sinaia, vous découvrirez un monument architectural dans presque une maison sur deux.
Le bonheur des amateurs d’architecture lors d’un “city break” à Sinaia. Allgemeine Deutsche Zeitung für Rumänien du 14 février 2024.
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Les Grands Chefs cuisiniers Français du passé
La cuisine fait partie de notre patrimoine et notre culture. Voici les grands noms qui ont façonné l’histoire de la gastronomie française et qui ont contribué à son rayonnement à l’international. La route des gourmets.
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” Cioran dans la cuisine de Lucullus ” ? Une histoire drôle, une mélancolie, une relation spéciale, un certain regard !
Cioran c’est mon „Dor” roumain et Lucullus, découvert alors que je commettais mes premiers articles culinaires, ma signature, dans la revue « Regard » qui venait d’être lancée alors que je débutais mes activités de journaliste freelance, après mes premières armes en Roumanie avec Economie roumaine magazine.
« Lucullus dîne aujourd’hui chez Lucullus » ce peut être moi lorsque je me fais à manger ?
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Le premier livre de cuisine imprimé en roumain
Des recettes pleines du charme d’une époque révolue.
Le premier livre de cuisine imprimé en roumain parut à Iași, en 1841, sous le titre „Livre de recettes nobles – 200 recettes de plats, gâteaux et autres tâches ménagères”.
Article rédigé par Gabriela Dan, rédactrice en chef d’Arta Albă, d’avril 2022.
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Les Français et leur culture alimentaire : approche historique
Les plaisirs de la table participent de la culture française et la renommée de sa cuisine a de longue date séduit les étrangers. Les goûts ont évolué, l’alimentation est devenue une industrie, mais le moment du repas garde en France toute son importance.
Car manger en France est une affaire sérieuse. L’écrivain roumain Emil Cioran raconte dans un entretien à un quotidien espagnol, en octobre 1977, qu’en Roumanie il se nourrissait « comme un animal », inconsciemment, « sans prendre garde à ce que manger veut dire ». Lorsqu’il arriva à Paris, il s’aperçut que manger était « un rituel, un acte de civilisation, presque une prise de position philosophique » (Entretiens, Gallimard, 1995, p. 28). Jean Anthelme Brillat-Savarin n’a-t-il pas écrit que « la destinée des nations dépend de la manière dont elles se nourrissent » (Physiologie du goût, ou méditations de gastronomie transcendante, A. Sautelet, 1826, vol. 1, p. VII) ! Ce besoin naturel de se nourrir, la France l’a transformé en un art du bien manger et du bien boire, en une passion gastronomique, qui, aujourd’hui encore, contribue à la valorisation du pays au niveau international.
Pour autant, cela n’a longtemps concerné que les élites. Il a fallu du temps avant que la haute cuisine ne se démocratise, passant de l’aristocratie à la bourgeoisie, que les civilités de table ne se diffusent dans l’ensemble de la société, grâce notamment aux traités de savoir-vivre et aux écrits gastronomiques, dont ceux d’Alexandre Balthazar Laurent Grimod de La Reynière, au début du XIXe siècle, que le restaurant ne soit inventé à Paris, au milieu des années 1760, promis à un succès qui ne s’est jamais démenti jusqu’à nos jours. Cette culture culinaire et alimentaire a une longue histoire que nous aborderons en trois points : d’abord la réussite de la cuisine française, ensuite la quête du goût et ses mutations dans le temps, enfin, la modernité du modèle français. Novembre 2019.
Par : Patrick Rambourg – Historien des pratiques culinaires et alimentaires
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La mémoire refoulée de la Roumanie ou une révolution en trompe-l’œil
En 1989, Cristian Mungiu était journaliste dans une revue universitaire, à Iasi. «La liberté, se souvient-il en riant, consistait à s’abstenir de publier en une la photo de Ceausescu.» Mungiu a écrit et réalisé ces trois films parce qu’il a constaté que vingt ans après, «le communisme en Roumanie est devenu une abstraction. Personne ne se sent responsable de ce qui s’est passé. Chacun préfère croire que le seul coupable, c’est Ceausescu. Et il est mort».
La révolution de 1989, ajoute le cinéaste, «est un secret de famille». Tout le monde au fond sait ce qui s’est vraiment passé, mais personne n’en parle. Comme si les Roumains avaient honte de leurs médiocres compromissions sous le communisme et de leur «révolution» en trompe-l’œil, la seule en Europe de l’Est entachée de sang (700 morts), de manipulations sordides (le charnier de Timisoara ou les pseudo-terroristes tirant sur des manifestants à Bucarest) et d’une parodie de procès qui restera le péché originel de la Roumanie postcommuniste. À l’hôtel Crown Plaza, devant les dinosaures et quelques jeunes loups du Parti social-démocrate, l’une des formations politiques nées sur les décombres du Parti communiste, l’ancien président Ion Iliescu semble désormais le seul à entretenir sans complexe le mythe d’un mouvement populaire spontané. En 1989, cet ancien ministre communiste accusé de «déviance intellectualiste» par Ceausescu succéda au Génie des Carpates. Il dirigea la Roumanie jusqu’en 1996 puis de 2000 à 2004. Non, répète-t-il inlassablement aux journalistes, il n’y a eu ni complot ni coup d’État. Et s’il a donné l’ordre de «liquider Ceausescu», c’est pour «mettre fin aux manœuvres de diversion d’un groupe de professionnels déterminés à mettre en difficulté le nouveau pouvoir».
Même s’il ne l’avoue pas, Dan Voinea sait qu’il est devenu, le 25 décembre 1989, une marionnette de l’histoire. Il avait alors 39 ans. Il était juge d’instruction. Ce jour-là, le général Stanculescu, ministre de la Défense du Front du salut national, l’instance politique qui venait de se substituer au Parti communiste roumain, lui avait téléphoné pour lui demander de monter précipitamment un dossier contre Nicolae et Elena Ceausescu, détenus dans une caserne de la ville de Tirgoviste. Faute de temps, les charges étaient succinctes. Le procès s’était ouvert en catimini.
Elections, révoltes, condamnations arbitraires. Un air de déjà vu
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Bocuse d’or 2025, Paul Marcon espère se faire un prénom grâce à „M. Paul”.
À 29 ans, Paul Marcon porte les espoirs des chefs français pour gagner le prestigieux concours du Bocuse d’Or 2025, qui se déroulera les 26 et 27 janvier à Lyon. Ainsi, 30 ans après son père Régis Marcon, Paul est désormais derrière les fourneaux pour remporter le plus renommé concours culinaire. Créée par le célèbre chef Paul Bocuse dit « Monsieur Paul » en 1987, la distinction est souvent comparée à la Coupe du Monde des chefs.
« On a un candidat qui va marquer l’histoire », s’extasie le chef étoilé Romuald Fassenet, Meilleur Ouvrier de France et propriétaire du restaurant Château Mont Joly à Sampans, près de Dole, dans le Jura. À la tête de la Team France pour les Bocuse d’Or depuis juin 2023, le cuisinier jurassien au col bleu-blanc-rouge croit en son candidat qui a terminé cinquième lors de la sélection européenne en Norvège en mars dernier.
« La compétition me correspond parce que j’ai une cuisine de concours, assez technique », remarque Paul Marcon. Le jeune cuisinier originaire de Haute-Loire « aime beaucoup quand les choses sont très cadrées et millimétrées, et en même temps avec des petits zestes d’originalité de ce que je peux trouver dans mon terroir ».
Paul Marcon travaille dans le restaurant familial et étoilé à Saint-Bonnet-le-Froid (Haute-Loire), avec son grand frère Jacques lui-même cuisiner et son père Régis, chef triplement étoilé et victorieux du Bocuse d’or en 1995.
« Ça m’a permis de bien connaître le concours de près car il a été impliqué même longtemps après sa victoire », admet Paul qui se veut toutefois serein « C’est quelque chose de particulier mais ce n’est surtout pas une pression ». Et aujourd’hui après Régis, place à Paul : « j’avais surtout besoin d’essayer pour moi. Je ne voulais pas regretter de ne pas oser y aller à cause de mon nom ».
Le dernier chef français à avoir remporté le prestigieux trophée est le Davy Tissot, en 2021, il sera d’ailleurs président de l’évènement cette année à Lyon.
« Une grosse charge mentale » : Paul Marcon, candidat français au Bocuse d’or, se confie
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DÉCOUVREZ SIRHA LYON 2025
Plus de 4 000 exposants et marques d’une quarantaine de pays viennent proposer une offre complète aux professionnels – dont plus de la moitié de décisionnaires – pendant cinq jours. Art de la table, Boulangeries-pâtisseries-confiseries, Cafés & Bars, Design & décoration, Emballage & vaisselle éco-responsable, Équipements de cuisine, Produits alimentaires, Solutions Digitales, Transports, Vins & Spiritueux sont autant de secteurs proposés à tous les visiteurs professionnels du salon.
Les espaces :
ARENA CONCOURS : Zone dédiée à la compétition où se succèderont les candidats finalistes des deux concours Sirha Food : la Coupe du Monde de la Pâtisserie (24 et 25 janvier) et le Bocuse d’Or (26 et 27 janvier). L’Arena Concours accueille le premier jour du salon l’International Catering Cup (du 21 au 23 janvier) organisé par la Confédération Nationale des Charcutiers Traiteurs.
SIRHA BAKE : Lieu vivant où la boulangerie et le travail sur la fermentation et la pâte sont à l’honneur, qui accueille la Coupe de France de la Boulangerie et le Championnat Européen du Sucre d’Art.
SIRHA FOOD FORUM : Situé dès l’entrée principale de Sirha Lyon, le Sirha Food Forum est un espace d’échanges qui met en relief les enjeux actuels et prépare l’avenir des professionnels.
SIRHA MÉTIERS DE BOUCHE : Point de rencontre des métiers de bouche qui met en valeur la technique et les produits des professionnels de la sommellerie, boucherie, poissonnerie, fromagerie et autres métiers de la restauration et de la table. Cet espace accueille 8 concours : Coupe de France des Fromagers, Cheese & Chef, Concours Flexitarien, l’Écaille d’Or, Golden Fish, Le Gargantua, Trophée du Maître d’Hôtel et World Burger Contest.
SIRHA COFFEE SHOW : Scène dédiée au café qui invite les visiteurs à découvrir et partager l’art des meilleurs baristas de France qui accueille le Championnat de France Coffee in Good Spirit, le Championnat de France des Baristas et le Championnat de France de Latte Art.
SIRHA INNOVATIONS : Regroupement de nouveautés et lauréats des prix emblématiques Sirha Innovation Awards et Pépites de la Boulangerie (en partenariat avec Honoré Le Mag, le CEBP et la FEB). Les amateurs d’innovations pourront s’inspirer Place des Lumières.
POP UP FOOD CONCEPT : Concept de restauration expérimental et immersif autour de la galerie d’art, dans lequel les visiteurs peuvent s’inviter et se restaurer.
Les grands entretiens du Sirha Food Forum – Place des Lumières
Le digital à la rescousse du gaspillage alimentaire !
23 janvier 2025
11h00 > 11h20
Entretien avec Laurent Gardinier : hospitalité de prestige et engagement écologique & social
23 janvier 2025
11h25 > 11h50
Marie-Victorine Manoa
23 janvier 2025
12h35 > 13h10
Circularité totale : un nouveau standard ?
23 janvier 2025
14h20 > 15h10
Nourrir les plus jeunes : comment l’alimentation dessine leur futur ?
23 janvier 2025
15h20 > 15h45
Les enjeux de la filière agri-agro en France
23 janvier 2025
15h55 > 16h45
Remise des prix – Sirha Innovation Awards
23 janvier 2025
17h00 > 18h00
Sirha Dynamics: Les tendances food service 2026-2030
24 janvier 2025
10h00 > 10h45
Quelle pourrait être la contribution du food service à la santé et l’équilibre alimentaire ?
24 janvier 2025
11h00 > 11h50
GLP1 & analogues : débats et controverses
24 janvier 2025
12h00 > 12h25
Francesca Fucci
24 janvier 2025
12h35 > 13h10
Remise des prix – Trophées Valo Resto PRO
24 janvier 2025
14h00 > 14h45
Les protéines alternatives, faux espoir ou futur de l’alimentation ?
24 janvier 2025
14h55 > 15h20
Gastronomie inclusive : comment éveiller tous les sens
24 janvier 2025
15h30 > 16h20
Entretien avec Gwendal Poullennec : qu’est-ce que la cuisine gastronomique aujourd’hui ?
24 janvier 2025
16h30 > 17h05
Gastronomie régionale
25 janvier 2025
10h25 > 10h50
Post-covid : s’adapter aux nouveaux rythmes de vie
25 janvier 2025
11h00 > 11h50
Former et fidéliser les talents de la restauration de demain
25 janvier 2025
12h00 > 12h25
Carla Kirsch
25 janvier 2025
12h35 > 13h10
Accompagner la Restauration dans son rôle majeur pour une société plus durable
25 janvier 2025
14h00 > 14h20
La grande cuisine française : Déclin ou renaissance ?
25 janvier 2025
14h20 > 15h10
La nutrition des séniors, nourrir le corps et l’esprit
25 janvier 2025
15h20 > 16h10
Les nouveaux territoires du vin
25 janvier 2025
16h20 > 16h45
Entretien avec Jean-François Piège ou l’encyclopédie culinaire
25 janvier 2025
16h55 > 17h30
Alternatives végétales : de nouvelles possibilités pour les chefs
26 janvier 2025
10h30 > 11h15
La fin des repas d’affaires ?
26 janvier 2025
11h25 > 11h50
Entretien avec Christophe Bacquié & Fabien Ferré : comment garder ses étoiles ?
26 janvier 2025
12h00 > 12h25
L’artisanat d’excellence au service d’un art de vivre
26 janvier 2025
12h35 > 13h00
Réinventer le low-cost : donner des lettres de noblesse à la cuisine populaire
26 janvier 2025
14h00 > 14h50
La génération Z passe à table
26 janvier 2025
15h00 > 15h25
Entretien avec Guillaume Gomez
26 janvier 2025
15h35 > 16h00
Entretien avec Mauro Colagreco : l’humanité au service de la gastronomie
26 janvier 2025
16h00 > 16h25
Entretien avec Pierre Gagnaire : les secrets d’un multi-étoilés
26 janvier 2025
16h35 > 17h10
Entretien avec Margot Lecarpentier : élever la gastronomie par le cocktail
26 janvier 2025
17h20 > 17h55
Entretien avec Yannick Alléno : l’excellence dans tout type de restaurant
27 janvier 2025
10h15 > 10h50
Robots et IA en cuisine , le nouveau second des chefs?
27 janvier 2025
11h00 > 11h50
Perdre son restaurant – Comment naviguer l’incertitude climatique pour un restaurateur ?
27 janvier 2025
12h00 > 12h25
Anto Cocagne
27 janvier 2025
12h35 > 13h10
La boulangerie réinventée par le snacking
27 janvier 2025
14h20 > 15h10
L’expérience comme futur de la gastronomie
27 janvier 2025
15h20 > 15h45
Billeterie
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Anti gaspillage, toute l’eau venue de là-haut !
Cinq eaux que vous pourrez utiliser à la maison au lieu de les jeter.
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- L’eau de cuisson de riz : L’eau de riz présente des propriétés cosmétiques et alimentaires.
– Vous pouvez l’utiliser pour faire briller les cheveux.
– Quand elle est ingérée, elle présente des vertus anti-diarrhée.
– L’eau de riz est reminéralisante et en plus c’est une source de nutriments.
- L’eau des pommes de terre : L’eau de cuisson des pommes de terre est cosmétique (un bon masque naturel).
– Vous pouvez l’utiliser pour hydrater votre peau.
– Vous pouvez l’utiliser pour redonner de l’éclat à votre argenterie.
– Elle vous sert pour vous débarrasser des mauvaises herbes.
- L’eau des œufs : L’eau de cuisson des œufs est riche en nutriments.
– Vous pouvez l’utiliser comme boisson énergétique que vous buvez en cas de fatigue.
– Elle vous sert aussi comme un engrais naturel très efficace pour enrichir la terre.
- L’eau des pâtes : L’eau de cuisson des pâtes présente une fonction détachante et désincrustante.
– Elle vous sert donc comme un produit ménager pour détacher les surfaces.
– Vous pouvez l’utiliser comme un désherbant naturel pour vous débarrasser des mauvaises herbes.
- L’eau de cuisson des légumes :
– Ça vous offre une utilisation alimentaire de plus pour en faire des bouillons ou des soupes.
– D’autre part, ça vous sert comme un engrais naturel efficace pour votre jardin.
– Vous pouvez aussi l’utiliser pour vous soulager des troubles digestifs.
– Applicable à tous les légumes : épinards, brocolis, poireaux, choux, betteraves, haricots verts, artichauts, asperges, champignons, carottes, blettes, endives, et navets.
Il faut bien évidemment des produits sains, issus de l’agriculture biologique, pour éviter d’avoir un bouillon de résidus de pesticides.
Stop risipa
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Quand la plateforme des cultures du goût, „Alimentation Générale” mettait sur le devant de la scène le fameux Jambon de Paris et intrinsèquement les engagements de la Fête du Goût 2014 en Roumanie pour faire connaitre lors de Master classes la qualité „Premium” en mobilisant chefs en activité et jeunes en apprentissage sur la culture du goût et la traçabilité.
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35 nuances de l’élevage
N’en déplaise à tous ceux qui n’aiment que les débats avec des bons et des méchants et qui ne s’épanouissent que dans le manichéisme et les motions de censure, il existe un certain nombre de professionnels, et pas des moindres, qui pensent les problématiques de l’élevage dans la nuance. D’où cet ouvrage aux voix et voies multiples qui donnent pas mal de grains à penser.
Mangeons moins de viande, mais meilleure, choisie et variée. Soutenons l’élevage traditionnel, paysan, écologique, paysager. Soutenons la viande heureuse. Pablo Jacob
En cuisine, Pablo Jacob met en œuvre une « approche holistique » pour valoriser l’animal et minimiser le gaspillage. Il rappelle l’importance du « zero waste » dans la tradition culinaire, où « les bouillons, fonds, jus […] sont le liant, le petit plus qui fait décoller une assiette ordinaire vers l’extraordinaire ». Pour lui, la viande issue de l’élevage traditionnel, respectueuse des cycles naturels et des terroirs, constitue une « viande heureuse » et une meilleure alternative : « Mangeons moins de viande, mais meilleure, choisie et variée. Soutenons l’élevage traditionnel, paysan, écologique, paysager. Soutenons la viande heureuse. »
„Mangeons moins de viande, mais meilleure, choisie et variée. Soutenons l’élevage traditionnel, paysan, écologique, paysager. Soutenons la viande heureuse”.
C’est un portrait qui nous est ici proposé, mais il y a dans cet ouvrage d’une grande richesse, d’autres formes de points de vue, à l’instar de la reprise d’un article d’Anne Chemin paru dans Le Monde et magnifiquement intitulé « Comment nous avons désanimalisé la viande ». Réflexions
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La cuillère à café de bonnes pensées du 4 janvier 2025
À propos de la liberté d’expression sur les réseaux sociaux.
Les développeurs privés de médias sociaux sont récemment devenus des apôtres de la liberté d’expression. Ce n’est pas qu’ils veuillent réduire leurs dépenses et leurs tracas en modérant le contenu des messages et en maintenant une atmosphère décente dans les discussions. Non, ils veulent restaurer la liberté d’expression fondamentale et non censurée dans l’espace public. Ils sont donc les pères fondateurs de la société future.
Puisque nous ne pouvons pas savoir à quoi ressemblera ce nouveau monde, voyons comment est né l’ancien. Dans l’Antiquité, les Grecs découvraient que leurs petites villes étaient plus prospères et plus fortes militairement si tous les habitants participaient à la vie et à l’administration de la communauté. Mais pour cela, il fallait que chacun puisse exprimer librement ses opinions en public. Ensuite, l’assemblée municipale a délibéré et choisi la meilleure solution et toute la ville a participé à sa mise en œuvre.
En outre, il pourrait être bon que l’Union européenne développe son propre réseau social sur Internet.
(Texte original en roumain) par Oana Cristian. Membre du Conseil Directeur de lq Fondation du Collège des Médecins de Bucarest – médecine évolutive.
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Quand la Roumanie vainc sans péril, elle triomphe sans gloire, amoindrie son image de nation éduquée, civilisée, acculturée à l’Europe.
Etancher une soif dévote et contenter un nationalisme béat !
Trois publi-reportages en cette période de fêtes que les Roumains peuvent liker et lover qui classent leur pays comme une destination à voir, à découvrir, à visiter. Dès lors autorités, professionnels et roumains lambdas, croit en une Roumanie qui triomphe, alors qu’elle vainc sans péril.
Il suffit qu’un guide prestigieux tel que le National Geographic publie une liste des meilleurs endroits à visiter en 2025, porte d’entrée de la région de Transylvanie, la ville de Braşov, mais surtout la vraie bonne raison mise en avant en terme d’un vrai tourisme qualifié et réellement durable que représente une randonnée sur la Via Transilvanica. En parcourant la Via Transilvanica, un sentier de randonnée dont la construction s’est achevée en 2022 et qui s’étire sur 1 400 km de la frontière ukrainienne au Danube. Une section du sentier, la Terra Saxonum, traverse des hameaux saxons et la ville de Sighisoara, site du 12e siècle inscrit au Patrimoine mondial de l’UNESCO, tandis qu’une autre, la Terra Dacica, serpente entre les vignobles et les forteresses daces.
Pour que suive à la date du 20 décembre un nouveau classement dans une revue « Fashion » américaine de luxe où le rédacteur n’a jamais mis les pieds. Le storytelling fait état de lieux communs par un signataire qui avoue n’avoir jamais mis les pieds dans cette destination.
Enfin un troisième paru le premier janvier dans la revue d’une chaine de télé américaine, CNN Travel, promeut 25 destinations qu’elle considère comme dignes et la Roumanie fait partie de ce classement, pays vu comme « un cadeau en ces temps de sur-tourisme ». ce qui n’est pas faux.
Car c’est un pays qui a tout, des stations balnéaires de la mer Noire à la beauté à couper le souffle des Carpates, et qui essaie apparemment d’augmenter le nombre de visiteurs de manière durable. Et pour cause, on ne se bouscule plus aux thermes de la mer Noire comme à l’époque communiste, prix prohibitifs et services inexistants au regard des destinations comparables avec des normes internationales.
Cette gloire éphémère qui lui est ainsi attribuée amoindrie son image de nation éduquée, civilisée, acculturée à l’Europe, mais ravit les businessmen qui se sont improvisés hôteliers restaurateurs dès les années 2000. D’une destination de premier plan prête à accueillir de nouveau les 7 millions de touristes qu’elle accueillait en 2010, alors que le système trop gourmand, non professionnel a fait fuir, outre le COVID, la majorité de sa clientèle qualifiée, microcosme mafieux trop préoccupé par son paraître, privilégiant l’ostentatoire en négligeant les détails et fondamentaux qui instaurent un service à la carte, attentionné, avec des personnels formés et enthousiastes, mais qui se solde aujourd’hui par un besoin de plus de 100000 asiatiques pour venir travailler dans l’Horeca chaque année depuis 2020.
Effet d’aubaine ou opportunisme, 2025, Schengen pour la Roumanie et la Roumanie dans Schengen.
La mélancolie ce « dor » roumain, qui rappelle une Roumanie respectée est dans la mémoire aujourd’hui de tous ces ambitieux qui ont cherché à sortir du lot avec bien évidemment les avantages et pouvoirs dont leurs pompeuses fonctions les gratifient.
C’est peut-être pour cela, que de nombreux politiques ont gardé le goût des diplômes et des honneurs, quand bien même il s’agit de plagiats dont internet a multiplié les possibilités comme source indétectable (tout au moins au début) pour faire carrière dans tous les secteurs libéralisés.
Le cadre est déjà posé pour 2025.
Trente années d’une communication rôdée où l’on se gargarise de faux classements qui sortent dans la presse et où la Roumanie paraît avoir gagner des points en termes d’image et de notoriété. Ainsi, secrétaires d’état, conseillers présidentiels et organisations professionnelles ne manquent jamais de citer le moindre classement où la Roumanie apparaît sous un visage attractif à l’international.
Exemple d’affirmation : …« de la scène artistique animée de Cluj-Napoca aux randonnées impressionnantes dans les Carpates, des plages de la mer Noire…écrit le rédacteur de la revue de mode » Alors que la signataire de l’article avoue ne pas avoir encore testé cette destination, il vaut mieux l’informer quant à la bétonisation et l’artificialisation des sols du Littoral dans un développement dont la corruption est sans doute au coeur des trois décennies écoulées.
Idem pour tous les classements de ces plateformes Marketing (Atlas & Co) qui sans aucun critère objectif ordonne plats, régions, traditions, spécialités culinaires et que de nombreux roumains aiment à se flatter par des „Love” quand leur pays apparait dans les 3 premières places. Hors, quand on se réfère à des concours sérieux et reconnus comme le WorldSkill Lyon 2024, la Roumanie se classe dernière en réception d’hôtel et en boulangerie et n’obtient aucune place d’honneur dans les autres secteurs, hormis l’informatique.
Les Roumains sont comme ça, ils aiment la démocratie qui ne se remet pas en question en n’abordant pas les sujets de fond sensibles parce que expériences et parcours aléatoires. La culture du chef a fait place aux leaders indispensables. Aujourd’hui les entrepreneurs qui montrent leurs réussites financières paradant fièrement comme le faisait le génie des Carpates dans sa limousine décapotable et auquel on montrait son assentiment en agitant des petits drapeaux tricolores sur son passage.
Ce n’est pas le contenu élaboré qui compte, c’est le prestige et les attributs du pouvoir !
Une formation de qualité aux métiers de bouche en berne qui permet d’accorder plus de 100000 visas de travail annuellement depuis 2020 à des personnels du Sud-Est asiatique pour venir travailler dans la restauration, l’hôtellerie et de nombreux autres secteurs (agriculture et agroalimentaire notamment)
Ainsi il existe pléthores d’écoles de management via internet pour faire rêver à l’entreprenariat et ses succès d’estime le quidam désireux de promotion sociale.
Dans le pays qui a vu naître un Cioran et un Georgescu-Roegen, seules les générations Z et Alpha seront en mesure d’arrêter de consommer idiot. Hyper connectées, adultes, elles seront aussi les plus exigeantes quant à une croissance décarbonée, un marketing au discours vérité de traçabilité et non bling bling, superfétatoire de surconsommation aveugle.
Et ne manqueront pas de faire perdurer en 2025, cette Roumanie affriolante de curiosités, envoutante de poésies, émouvante d’histoires, chantante de „Doïna„, époustouflante de paysages authentiques, susurrante de légendes…
Classement des États d’Europe par nombre de touristes étrangers mis à jour le 13/07/2024.
Les États d’Europe comptant le plus de touristes étrangers sont la France, l’Espagne, la Turquie, l’Italie et le Royaume-Uni. Les pays du continent européen ayant le moins de touristes étrangers sont le Liechtenstein, Saint-Marin, la Moldavie, Monaco et la Lettonie.
PAR ATLASOCIO.COM | MIS À JOUR LE 13/07/2024
Toute l’équipe de Sarbatoarea-Gustului visitera l’ami Christophe Geoffroy à l’Hôtel de la Tour de Chatillon sur Chalaronne pour le Sirha et Bocuse d’Or
Nous avons „Miam-Miam” des bons produits de l’Ain et des 4 As de la restauration devenus une denrée rare en 2025, entre crises sanitaires, crise de régimes, crise de sens.
Que 2025 soit-il ! Gourmandes visions, uniques expériences ;
Les 4 AS de l’éducation à la gastronomie durable :
„Assiette sapide, apprentissage sécurisé, affabilité sensorielle, avenir séduisant”.
Patrick-Pierre Pettenuzzo – Conquistador pour „Sarbatoarea-Gustului & Fiesta del Gusto”.