Sarbatoarea Gustului / La fête du goût 2020/2030 pour l’éducation incluant une alimentation privée durable en Roumanie.

 

Sarbatoarea Gustului / La fête du goût 2020/2030 pour une éducation formelle de Roumanie inclut l’alimentation durable.

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« Festival du Goût », une initiative éducative qui encourage le libre arbitre des jeunes élèves des écoles primaires, ambassadeurs auprès des familles, afin qu’ils deviennent des citoyens informés et actifs quant à leur consommation alimentaire.

„Quand il existe la conscience du choix, la liberté de manger sainement nous appartient”

L’éducation au goût, un incontournable de la soutenabilité pour les générations de demain.

L’éducation au goût et à l’alimentation au coeur du programme éducatif créé par Sarbatoarea Gustului depuis 2014.

Nos systèmes alimentaires sont au cœur des enjeux de la transition écologique.

De la production à la consommation de nos aliments, en passant par leur transport, leur transformation et leur commercialisation contribue au changement climatique. Ainsi, l’alimentation représente entre 22 et 34% de l’empreinte carbone au niveau mondial. C’est le 3ème poste le plus émetteur de GES, après le transport et le logement.

La transition écologique nécessite des changements de pratiques dans l’ensemble du système alimentaire, et notamment au niveau du secteur agricole et au stade de la consommation. De plus, aux enjeux environnementaux s’ajoutent des objectifs de santé et de justice sociale. Concrètement, pour que notre alimentation soit durable, nous avons de nombreux défis à relever parmi lesquels :

– Permettre à chacun d’accéder à une alimentation suffisante en quantité et en qualité.

– Mieux rémunérer les producteurs, les agriculteurs qui protègent la biodiversité et pratiquent la permaculture.

– Apprendre à manger moins mais mieux, réduire la part des protéines animales dans nos assiettes.

– Manger de saison, local et en circuit court, réduire les emballages,

– Arrêter de gaspiller l’énergie lors des cuissons en général, couvrir les cocottes, cuire de façon passive.

Les objectifs globaux étant de relocaliser l’agriculture et l’alimentation dans les territoires qui sont de formidables outils au service de la transition écologique.

Dans une approche systémique, ils rassemblent des acteurs très divers et cette pluralité est une opportunité pour que les transformations des territoires soient profondes et durables.

Produire (et distribuer !) une offre alimentaire de qualité ne suffit pas si elle ne rencontre pas un consommateur avec des besoins correspondants et qui soit en capacité de se la procurer et d’en apprécier sa valeur.

Ainsi, un producteur ne pourra pas écouler ses choux d’hiver si le consommateur ne veut manger que des tomates et n’est pas éduqué à l’appréciation des choux. De même, un consommateur avec des exigences gustatives, nutritionnelles ou de durabilité qui ne rencontre pas, sur son territoire, une offre qui répond à ses attentes, pourra se procurer des aliments qui ont parcouru de longues distances et qui ne contribuent pas au soutien des filières locales. Les défis pour l’ensemble de la communauté sont donc de développer une agriculture et des modes de consommation qui « se rencontrent ». Pour réussir la transition écologique, nos modes de production et de consommation doivent se transformer.

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Fruits et légumes de saison

La liste des 147 fruits comestibles à déguster dans le monde

Alors que nous profitons d’une diversité et d’une disponibilité alimentaire sans précédent, connaître l’infinie variété des fruits comestibles relève d’un véritable défi.

Fruits et légumes ont une signification variable selon que l’on se place d’un point de vue botanique ou gastronomique.

En botanique, les définitions littérales sont les suivantes :

Le fruit

Selon le ministère de l’Agriculture, « le fruit est un organe comestible des plantes à fleurs qui succèdent à la fleur et protège les graines, noyaux ou pépins en son sein ». Autrement dit, le fruit est le résultat de la transformation du pistil, organe reproducteur femelle situé au centre de la fleur. Cette paroi possède différentes caractéristiques selon la plante mère.

Le légume

La légumineuse est la partie consommable d’une plante potagère. Celle-ci peut être une racine (carotte), un tubercule (pomme de terre), un bulbe (oignon), une jeune pousse (asperge), des feuilles (salade) ou encore une graine (petits pois).

La liste des 128 légumes à déguster dans le monde

Une légumineuse est une plante potagère pouvant entrer en partie ou en totalité dans l’alimentation humaine. Plus riche en amidon et moins sucré que le fruit, il se déguste cru ou cuit, de préférence au déjeuner ou au dîner où il fera office de garniture comme de plat principal.

Ainsi, par définition la tomate, l’aubergine, le haricot, ou l’olive sont des fruits.

Par contre la fraise, l’ananas et la figue sont pris comme des faux-fruits dans la mesure où ils sont issus de la transformation d’autres organes de la fleur, comme le pédoncule ou le réceptacle floral.

Une définition variable entre botaniste et gourmets

En gastronomie, la distinction entre fruits et légumes reste plutôt une affaire de goût.

En effet, le fruit, plus ou moins sucré, est généralement consommé en dessert alors que la légumineuse sert à accompagner un plat salé comme de la viande ou du poisson.

En tout état de cause et quelle que soit la manière dont on les déguste, les fruits et légumes ont sans conteste de réels bénéfices pour la santé et apportent les vitamines et minéraux nécessaires au renforcement de l’organisme.

https://www.conservation-nature.fr/food/fruits/

https://www.conservation-nature.fr/food/legumes/

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Tranches de vie après trente années passées en Roumanie (suite)

Des restaurants étoilés visités en 2025, d’abord Bocuse à Collonges en janvier dans le cadre du Bocuse d’or pour finir au Negresco de Nice en août 2025. En passant par San Remo chez Paolo & Barbara et Menton au Mirazur .

30 ans de Roumanie des chapitres comme si le livre d’un ailleurs s’écrivait en parallèle.

Accueilli dans une famille roumaine pendant 3 mois. Des déplacements dans la neige, sans téléphone portable et en métro à chercher des adresses sans plaques ni numéros du côté de Pipera, baptême du feu dans 50 cm de neige.

Un Forum franco-roumain et un président « Emil Constantinescu » , président de la toute nouvelle république de 1996 à 2000, à qui je serre la main lui ayant présenté la revue « Roumanie Magazine » que nous venions de boucler avec la présentation de tout le gouvernement. Un tour de force dont le propriétaire du journal avait le secret, connaissant le pays bien avant la révolution, à l’aise pour manœuvrer avec la mentalité de l’époque des apparatchiks, rendus démocrates confirmés depuis 89.

Les bruits qui circulaient dans les grandes entreprises françaises, alors que nous étions plus ou moins concurrents de l’Actim pour les budgets de communication institutionnelle, la revue économique de l’Ambassade n’avait pas trop à se battre. Cependant, j’entendis plusieurs fois des noms d’oiseaux en „OFF” de la part des patrons pays du CAC40 à propos des services économiques de l’Ambassade. 

Mes Ambassades, bien moins gaies que celles des lignes lues très jeunes, de Roger Peyrefitte ! Lors d’une visite officielle, à l’invitation de l’ambassadeur en poste de l’époque Bernard Boyer , qui respirait le gaullisme et l’intégrité. Ce fut une poignée de main et quelques mots avec un ancien ministre, tour à tour à l’industrie, à l’économie et enfin à l’éducation mais aussi, président du Sénat, René Monory . Pas un énarque, un homme de terrain qui avait commencé dans le garage familial en travaillant de ses mains dés quinze ans à Loudun, mais avait construit un parc éducatif le Futuroscope r entable et innovant, bien avant la société du loisir.

Un moment qui ne se répèta plus tant les diplomates étaient devenus des politiques, des clientélistes et que leurs molles poignées de main témoignaient de l’hypocrisie des succès-médailles. Une suffisance bien plus que du respect que leur fonction était supposée exprimée, et la bienveillance envers les citoyens français lambda pour lesquels ils sont également au service. 

L’importation de produits français de qualité via l’import n’était pas une mince affaire. Pour des entreprises françaises souvent incapables de penser par spécificité pays, elles englobaient le plus souvent l’exportation dans un ensemble qui ne correspondait pas aux spécificités d’un pays en reconstruction et dont tout était à faire en termes d’informations basiques.

Une expérience de recrutement dans l’Horeca, un casse-tête depuis 3 décennies ! Le recrutement d’un ancien chef de chez Bocuse pour le premier restaurant qui se voulait gastronomique, à deux pas de l’Institut Français.

Plus de 400 articles écrits depuis 1996 concernant les grandes maisons de cuisine, des chefs de premier plan, des produits, des concours, des associations, une philosophie de transmission, de formation en suggérant de favoriser un possible renouveau de la diversité de la cuisine interbellique qui avait existée avant sa période sombre en rouge et noir. Hormis le restaurantBudapesta” le soir de mon arrivée, s’asseoir seul dans un restaurant en 1996 ne manquait pas d’amusement et de surprise. Le premier fut le Perla et une première commande de Tournedos Rossini, servi avec des foies de volaille en sauce tomate au goût acide, et un personnel persuadé qu’il était dans un restaurant de luxe à l’occidental, cent pour cent charme et pathétisme ! 

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DraculaLand, un parc d’attraction européen gigantesque, sans doute empanaché de la soutenabilité à la mode chez les autorités et pour les marques et banques qui ont le plus besoin de se prévaloir de „green” tout en masquant le „washing”, 25 ans après l’arnaque Dracula Park !

Une nouvelle icône de la mondialisation du divertissement. Là où patrimoine culturel, technologie et design de destination convergent pour créer la prochaine marque expérientielle de classe mondiale en Europe.

Bâti sur un héritage. Conçu pour durer.

Au-delà d’un lieu, au-delà d’une histoire.  Dracula Land est un écosystème hybride : une destination physique, un univers numérique et une propriété intellectuelle évolutive.

32 % ↑ de croissance annuelle et croissance du marché : Le tourisme culturel et les divertissements expérientiels se développent plus rapidement que les loisirs traditionnels.

Zéro Destinations concurrentes.  Espace régional exclusif, l’Europe centrale et orientale manque d’une destination touristique de marque à l’échelle mondiale.

Mondial, reconnaissance de la marque.  82 % de notoriété — Le mythe de Dracula est l’un des symboles culturels les plus reconnus au monde, et pourtant sous-exploité commercialement.

Trois moteurs de revenus et une seule vision

  • Opérations du parc

Entrées, événements premium, vente au détail, restauration.

  • Plateforme numérique

Abonnements, expériences ludiques, actifs virtuels.

  • Marque et propriété intellectuelle

Licences, collaborations, extensions médiatiques.

Opportunité d’investissement

Dracula Land allie la force émotionnelle d’un mythe universel à un modèle financier durable. Bien plus qu’un simple lieu de divertissement, il s’agit d’un investissement stratégique dans le tourisme culturel, le développement régional et l’expansion internationale de la marque.

Dracula Land réunit des spécialistes de la conception de destinations, de la narration, de l’architecture et des technologies émergentes, appuyés par des conseillers internationaux et des experts locaux.

Alors que le fantôme de Dracula Park hante encore l’OSIM

En 2001, Dan Matei Agathon, alors ministre du Tourisme, lance une souscription publique pour la réalisation d’un Dracula Park sur le plateau de Breite, une réserve naturelle protégeant une forêt de chênes centenaires, de hêtres et de bouleaux près de Sighișoara, la prétendue ville natale de Vlad l’Empaleur. 

Le célèbre projet Dracula Park, censé faire de la Roumanie une destination touristique de luxe, est devenu une société immobilière fantôme, sans activité, sans perspectives et avec des pertes de millions. On ignore même l’identité de ses actionnaires, et Dracula possède deux marques déposées auprès de l’OSIM. Des milliers de Roumains ont conservé leur statut d’investisseurs, car ils n’ont pas encore été lésés, la société poursuivant ses activités. Cependant, ils ne reverront jamais leur argent. Pourtant, l’ancien ministre Dan Matei Agathon, le « parrain » de Dracula, est convaincu que le projet n’est pas abandonné : « Il sera réalisé, tôt ou tard. »

Les chiffres d’une catastrophe annoncée

Dracula Park SA, société spécialisée dans les fêtes foraines et les parcs d’attractions, a enregistré un chiffre d’affaires nul en 2017, des pertes de 6 410 lei et un endettement de 37 702 lei, avec un seul employé. L’entreprise a cumulé des pertes de plus de trois millions de lei au cours des dix dernières années. Ses capitaux propres s’élèvent actuellement à 3 711 612 lei et ses immobilisations à 3 571 984 lei, soit vingt fois moins qu’en 2003, année où le projet a été (quasi) abandonné. Il ne reste du projet que deux marques déposées à l’OSIM : Dracula Park Tour (enregistrée en août 2003, expiration en 2023) et Dracula Park (enregistrée en août 2001, expiration en 2021).

L’État a gaspillé des millions de dollars dans les études de faisabilité de Dracula Park : 1,5 million pour Sighișoara et 800 000 pour Snagov. Entre-temps, sur les 15 000 actionnaires qui avaient investi plus de trois millions de dollars dans Dracula Park en 2001, séduits par l’enthousiasme des dirigeants de l’époque, seuls 13 000 étaient encore présents. Certains se sont retirés, mais plus de deux millions de dollars restent bloqués, on ignore où. Une sorte de Caritas ou de FNI mise en place par l’État.

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L’ANSVSA promeut l’alimentation équilibrée dans les écoles primaires de Roumanie

L’alimentation sanitaire est à portée de main, a déclaré Alexandru Bociu, préfet de l’Autorité Nationale Sanitaire Vétérinaire et de l’Assurance Alimentaire (ANSVSA), et il est important de souligner l’importance des formes de protection de l’environnement alimentaire correcte.

Le message de l’ANSVSA a été transmis à l’occasion de la participation des institutions à la série de sessions éducatives dédiées à l’éducation, qui a eu lieu du 28 au 30 mai 2025 à l’école secondaire « IH Rădulescu » de București.

Campanie educațională națională pour les obiceiuri sănătoase

L’événement fait partie du programme national « Style de vie en santé, diversification alimentaire et attitude éco-responsable ! », initiative de l’association « Sărbătoarea Gustului ». Le programme est le développement du niveau national et de l’éducation alimentaire au niveau III-a, impliqué dans le cadre didactique actif des parinții et des institutions publiques.

L’ANSVSA a mis en place des activités éducatives en partenariat stratégique avec l’association « Sărbătoarea Gustului », et a pour objectif principal de développer une culture alimentaire dans votre bibliothèque. L’autorité n’a pas de réglementation sur la sécurité alimentaire, elle est directement impliquée dans la forme d’un comportement nutritionnel correct.

Copiii, învățați să mănânance sănătos de la specialitate

La session éducative de Bucureşti a été très présente auprès des représentants de l’ANSVSA, qui sont les fondateurs du « Sărbătorii Gustului România », le chef Daniel Dobre. L’interaction avec l’élévation, la transmission et l’information essentielle en matière de responsabilité du consommateur en matière d’alimentation, d’alimentation et d’attitude éco-responsable de l’homme.

Accentuez l’importance d’un régime alimentaire variable et de l’équilibre alimentaire pour que vous respectiez un ou des soins simples et réguliers afin d’éviter tout risque d’accident alimentaire. Activez-le avant d’entrer dans un format interactif, rencontre aux copies et aux versions adaptées.

Impliquer les institutions et les principes gouvernementaux

Le programme éducatif est soutenu par le ministère de l’Éducation, en collaboration avec le département pour la durabilité du cadre du gouvernement, le ministère de l’Économie, de l’Antreprenoriatului et du tourisme et de l’ANSVSA. L’objectif général est de promouvoir un style de viață sănătos et responsable du niveau national, principalement des interventions directes dans l’école et impliquant l’activation d’une communauté éducative.

Initiez-vous à la vigne dans le contexte d’une souffrance majeure pour votre santé publique, en particulier dans le cadre de la copie. Selon des études récentes, la Roumanie est confrontée à un incident survenant chez l’enfant, et l’alimentation équilibrée est une de ses principales causes.

Source : https://www.roaliment.ro/siguranta/ansvsa-promoveaza-alimentatia-echilibrata-in-scolile-din-romania/

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En route pour le Bocuse Europe de Marseille en 2026. Une grande première pour la Roumanie.

La Roumanie a été confirmée parmi les 20 pays qui participeront au Bocuse d’Or Europe 2026. Pour la Roumanie et l’Association Nationale des Chefs et Pâtissiers de Roumanie (ANBCT), cette confirmation est un moment historique. La gastronomie roumaine intègre pleinement le dialogue culinaire international, où talent, rigueur et respect du goût sont les maîtres mots.

Il a fallu du temps, des discussions et la démonstration que la Roumanie pouvait satisfaire aux critères rigoureux du Bocuse d’Or – de l’organisation à la transparence, en passant par la cohérence professionnelle et une vision à long terme. Le résultat ? Une reconnaissance bien méritée, fruit du travail, de la patience et de la constance.

Dès aujourd’hui, la Roumanie s’engage sur la voie d’une sélection transparente, d’une vision claire et d’une compétition internationale avec arbitre.

C’était à Brașov , le 27 novembre 2025 qu’a eu lieu la sélection nationale de Roumanie.


Heureux présage, avant que Joseph Hadad ne soit invité à faire partie du jury de la sélection officielle du Bocuse d’Or Roumanie, c’est avec plaisir que nous avions célébré notre collaboration pour l’éducation dans les écoles primaires du pays. La toque „Collector” réunissant le parrain depuis 2017, le chef lyonnais étoilé Alain Alexanian , qui participe presque depuis le début à l’aventure Bocuse d’or, mais également comme chef du village „VIP”, le président et chef de l’Association, Daniel Dobre et Joseph Hadad propriétaire des restaurants Caju et Mace qui sont parmis les plus côtés de la capitale Bucarest. C’est ainsi que nous avons déjeuné à Collonges chez feu Monsieur Paul Bocuse après la cérémonie de la pose des plaques avec officiels et lauréats, dont bien évidemment Paul Marcon qui venait de remporter le Bocuse d’Or 30 ans après son père Régis Marcon !

Cezar Munteanu, le président de l’ ANBCT   qui a porté l’ambition pour tout un pays, confirme dans un message sur Facebook, la dichotomie entre éducation et marketing teinté de greenwashing pour les marques :  Aujourd’hui, je ne parle pas de moi. Ni de titres, ni de postes, ni de ceux qui s’y accrochent désespérément.  Aujourd’hui, je parle d’engagement !

Des personnes et des entreprises qui ont compris, sans qu’on ait besoin de le leur répéter, que les grandes choses ne se construisent pas dans l’isolement. Les bonnes actions s’épanouissent ensemble, grâce à la patience, la détermination et une générosité qui se passe d’applaudissements.

Lors de la sélection nationale roumaine du Bocuse d’Or, j’ai ressenti – peut-être pour la première fois à une telle échelle – la véritable force de cet „ensemble”.

Non pas comme un slogan, ni comme une image, ni comme un hashtag. Mais comme un état d’esprit.

Des partenaires qui n’ont pas demandé „qu’y gagnons-nous” mais „comment pouvons-nous vous soutenir ?” Des marques et des fournisseurs qui ont compris qu’ils ne soutenaient pas un événement, mais toute une communauté.

Des personnes qui ont proposé des solutions, et non des conditions. Sans toi – et tu sais parfaitement qui tu es –, nous n’aurions pas eu une compétition respectée, équitable et impeccablement gérée jusqu’au bout. Nous n’avions pas eu d’équipes préparées, d’ingrédients de qualité, d’une logistique irréprochable et de ressources permettant de maintenir l’équilibre.

Et nous n’aurions pas eu ce dont la Roumanie avait le plus besoin : la confiance nécessaire pour aborder la scène internationale la tête haute.

C’est pourquoi, merci ! Merci pour votre soutien indéfectible, au moment précis où il était indispensable, et non par simple intérêt. Car tu as agi concrètement, au lieu de te contenter de discussions. C’est ainsi que se construit une communauté”. Conclut le président.

Soutenir une communauté autour de la culture du goût, c’est ce que fait   Sarbatoarea Gustului – La fête du Goût depuis 2014, certains chefs et anciens présidents de l’Association nationale de cuisiniers que j’ai guidé sur le Bocuse dés 1999, n’avaient alors pas les moyens ni l’état d’esprit pour créer une communauté d’intérêt, sans gains financiers probants, mais un gain de notoriété pour le pays qui reste le dernier de la zone PECO a adhéré à la communauté du Bocuse d’Or.

Il est vrai que la nomenclature, les politiques et la communauté HORECA aiment les victoires faciles, et non construire une œuvre sur le long terme, encaisser et se féliciter. Si cela avait été le cas, le pays aurait déjà ouvert plusieurs écoles hôtelières aux quatre coins du pays pour favoriser l’accueil et la progression des métiers de bouche, en dehors des réseaux et des émissions télévisées. Il ne s’agit pas pour la Roumanie de continuer dans l’immigration de personnels venus d’Asie, pour valoriser les richesses du pays. Comment continuer de vouloir l’excellence et la promotion de ses potentiels touristiques, culturels, historiques, culinaires, avec une vingtaine de classes d’alimentation publique au sein de lycées agricoles et chercher non de grands et conventionnels lycées hôteliers pour l’entraînement, la validation et la certification de formations complètes avec une vision à 360° des possibilités offertes par les tendances et évolutions rapides de la cuisine collective durable, des diverses cuisines régionales jusqu’à la gastronomie végétale 3 étoiles « Michelin ».

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Joseph Hadad, un être habité, un chef passionné, une histoire de loyauté et de transmission authentiques.

Propriétaire des restaurants CAJU & MACE Joseph Hadad, né un 7 Décembre (Champagne ) puise son inspiration dans la cuisine classique, mais recherche toujours l’innovation, en maintenant un équilibre entre authenticité et modernité. Et pour cause, entre le Roi David à Jérusalem, Haerbelin, Georges blanc et Rostang une vaste expérience, avec dans les veines toute la culture de la cuisine orientale, du végétal et de la cuisine partage. Sans compter ce sens inné de la cuisine fusion bien avant les modes !

Destins croisés ; Avec un cuisinier israélien arrivé un semestre après moi et du même âge nous nous sommes retrouvés via Sarbatoarea-Gustului chez Paul Bocuse à Collonges en janvier 2025, à l’occasion de la finale mondiale du Bocuse d’Or 2025.

Mon associé ayant eu l’idée d’aller le retrouver pour le solliciter comme chef emblématique de notre année 2024 pour la toque collector offerte aux élèves que nous rencontrons dans les écoles à Bucarest, mais aussi les 5000 élèves que nous voyons dans les 21 villes par lesquelles nous passons pour diffuser l’idée et les fondamentaux de la révolution délicieuse.

Ainsi Joseph Hadad qui fut le premier chef étranger installé en Roumanie pour qui je fis un article de deux pages hormis les chefs français que j’avais déjà présenté aux lecteurs roumains, tels que Bocuse, bien évidemment, mais aussi, Alain Passard, Alain Ducasse… et un grand Monsieur de l’élégance parisienne, personnalité hors-pair de la gastronomie mondiale, Claude Terrail , le propriétaire de la célèbre Tour d’Argent du quai de la Tournelle, qui décèdera en 2006.

Bref, Joseph a vu passer entre ses couteaux et derrière ses pianos bien des jeunes à qui il apprit le BA-ba du métier. Non seulement en termes de connaissances techniques, de produits mais aussi de valeurs inhérentes au métier de cuisinier respectueux de la qualité. De la mise en place d’avant service au fonctionnement d’une brigade, du respect des temps de préparation comme des temps d’attente inclus dans la promesse « client », inconnue sous la période d’avant 89.

C’est sans doute pour cette raison que, pour la première édition de la sélection du Bocuse d’Or Roumanie, sa présence était souhaitée pour représenter avec force le professionnalisme de la cuisine en Roumanie, et bien que réticent, après moults relances, il finit par accepter une semaine avant l’événement.

Dommage que l’on ne puisse plus faire intervenir en 2025, un Claude Terrail sur les chaînes de télévisions nationales, lui qui avait connu la période interbellique à Bucarest, comme officier de bouche à l’Ambassade d’Egypte tout en ayant eu le privilège de rencontrer la reine Marie, sur la côte de la mer Noire à Balcic, devenue le Baltchik bulgare.

Ce célèbre épicurien que j’avais eu la gourmandise de rencontrer chez lui pendant 3 heures, en haut de sa „TOUR d’ARGENT”, en 2000 pour un article paru dans la Tarom Insight , concernant la recette du célèbre „Canard au sang”. (Que la rédaction pour la traduction n’osait nommer „au sang” par une ignorante pudeur de gazelle).

C’est donc un parallèle évident de citer Claude Terrail et Joseph aujourd’hui. Car ces deux épicuriens ont une connaissance autant de l’influence de la cuisine française que de la cuisine traditionnelle roumaine de l’époque de l’après révolution, ainsi que celles plus confidentielles des cours autant européennes que mondaines des grandes tables du monde.

Vous êtes l’un des chefs les plus titrés de Roumanie, dans quelle mesure votre participation aux émissions de télévision spécialisées a-elle contribué à la croissance de votre notoriété personnelle et de vos restaurants ?

– Dans le secteur gastronomique, la visibilité joue un rôle essentiel et les apparitions médiatiques m’ont donné l’opportunité de partager ma passion pour la cuisine avec un large public.

Ces émissions m’ont non seulement permis de transmettre des valeurs telles que l’excellence, l’innovation et le respect des ingrédients, mais elles ont également contribué à sensibiliser le public à la gastronomie de qualité.

Parallèlement, elles ont renforcé la confiance des clients dans mes restaurants, leur assurant que chaque plat reflète mes exigences et ma philosophie culinaire. Grâce à la télévision, j’ai pu établir un lien direct avec les gourmets, ce qui s’est traduit, au fil du temps, par une croissance naturelle de la notoriété et du succès de la marque Joseph Hadad .

Premier article paru en Roumanie concernant le Bocuse d’Or en 2001.

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De la bonne nourriture pour tous 

L’alimentation est un droit humain pour tous !

Bienvenue à l’Initiative citoyenne européenne pour le droit à l’alimentation

L’accès à une alimentation adéquate, sûre, durable et nutritive est un droit humain fondamental. Or, ce n’est pas encore le cas dans l’Union européenne. L’Initiative européenne pour le droit à l’alimentation (IEC) vise à changer la donne et à faire de ce droit une réalité pour tous les citoyens de l’UE. En soutenant notre initiative, vous luttez contre l’insécurité alimentaire et les systèmes alimentaires inéquitables, et vous plaidez pour un système alimentaire juste et durable en Europe.

Pourquoi le droit à l’alimentation est important

En Europe, des millions de personnes souffrent d’insécurité alimentaire. Beaucoup d’autres n’ont pas les moyens de se nourrir sainement et correctement. De plus, les agriculteurs et les travailleurs du secteur agroalimentaire peinent à gagner leur vie, et la durabilité est souvent compromise par le manque de volonté politique et de ressources. Parallèlement, quelques acteurs de la filière et quelques investisseurs accumulent d’énormes profits grâce à la production à petite échelle, à une alimentation déséquilibrée et à la spéculation.

L’initiative « Droit à l’alimentation » vise à répondre à ces enjeux urgents en exigeant que l’UE adopte enfin des politiques garantissant la transition vers des systèmes alimentaires agroécologiques où chacun a accès à une alimentation suffisante, sûre, durable, équitable et nutritive. Nos objectifs sont les suivants :

  • Sensibiliser le public à l’insécurité alimentaire et aux systèmes alimentaires non durables en Europe.
  • Plaider pour des politiques alimentaires plus strictes au niveau européen.
  • Mobiliser les citoyens pour soutenir le droit à l’alimentation en tant que droit humain fondamental.

Moyens de soutenir l’ECI

  • Rejoignez la Coalition pour le droit à l’alimentation : Nous invitons les organisations de la société civile et les ONG à se joindre à nous pour anciennement la Coalition pour le droit à l’alimentation. Ensemble, nous pouvons pérenniser cette initiative citoyenne européenne et amplifier notre voix collective pour un changement durable. En collaborant, en partageant nos ressources et en plaidant ensemble, nous pouvons faire en sorte que le droit à l’alimentation devienne une réalité pour tous en Europe. Contactez-nous pour savoir comment votre organisation peut faire partie de cette coalition essentielle.
  • Faites un don : Vos contributions financières nous fournissons à financer nos campagnes et nos actions de plaidoyer.
  • Partagez votre histoire : les expériences personnelles peuvent illustrer avec force l’importance de notre cause.
  • Suivez-nous sur les réseaux sociaux : Retrouvez-nous sur nos réseaux sociaux pour rester informé et participer à notre communauté en ligne.

Impliquez-vous et faites la différence.

Votre soutien est essentiel pour nous aider à atteindre nos objectifs. Voici comment vous pouvez vous impliquer :

  • Inscrivez-vous à notre newsletter pour rester informé de nos progrès et des événements à venir.
  • Faites passer le mot en partageant notre initiative avec vos amis et votre famille.

Ensemble, nous pouvons créer un avenir où le droit à l’alimentation sera garanti à tous en Europe.

L’alimentation est un droit humain pour tous ! La nourriture est un droit humain pour tous !

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Pain américain, pain français, choisir, c’est agir au quotidien !

 

Consommer sainement s’apprend dés le plus jeune âge ; Bon pour le goût, bon pour la santé, bon pour la planète ! 

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Patrick-Pierre Pettenuzzo

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