✒ Pentru Cioran, mâncatul: un ritual, un act de civilizație, o poziție filozofică.
– For Cioran, eating: a ritual, an act of civilization, a philosophical position.
– Pour Cioran, manger : Un rituel, un acte de civilisation, une position philosophique.

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Quelques voeux ;

Bun pentru Gust, bun pentru Sănătate, bun pentru Planetă!

Bon pour le goût, bon pour la santé, bon pour la planète !

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Pour cette année 2023 souhaitons-nous des chants d’oiseaux au réveil et des rires d’enfants plutôt que des coups de canon.

Ambitionnons qu’il se respecte les différences, que chaque être humain ait de la valeur et que chacun puisse résister à l’enlisement, à l’indifférence et aux pensées négatives de notre époque.

Les vœux d’aujourd’hui se déversent par milliers, selon les capacités de l’envoyeur et finiront par un clic désinvolte sur la touche « supprimer » des poubelles virtuelles, aussi vite qu’ils sont apparus. Des blogs vont surgir des vidéos éphémères de politiciens, leaders, influenceurs de tous poils et célébrités transitoires nous vendre du « toujours plus » accompagner de questions fumeuses spéciales pièges à clics et des vœux improbables pour « Les quatre types idéals : le crétin, l’imbécile, le stupide et le fou. Le normal, c’est le mélange équilibré des quatre.” Dixit Umberto #Ecco.

🙏 Oserais-je me souhaiter une réflexion, envisager des vœux universels, une méditation ; La conclusion du testament spirituel de Benoit XVI

  • Depuis soixante ans, j’accompagne le chemin de la théologie, en particulier celui des études bibliques, et j’ai vu s’effondrer, au fil des générations, des thèses qui semblaient inébranlables et qui se sont révélées n’être que de simples hypothèses : la génération libérale (Harnack, Jülicher, etc.), la génération existentialiste (Bultmann, etc.), la génération marxiste. J’ai vu et je vois comment, dans l’enchevêtrement des hypothèses, la raison de la foi a émergé et émerge à nouveau. Jésus-Christ est vraiment le chemin, la vérité et la vie – et l’Église, dans toutes ses imperfections, est vraiment Son corps. Enfin, je demande humblement : priez pour moi, afin que le Seigneur me laisse entrer dans les demeures éternelles malgré tous mes péchés et mes insuffisances. À tous ceux qui me sont confiés, j’adresse jour après jour ma prière qui vient du cœur.

Pape cérémonie Benoit XVI

JANVIER

Janvier, pour dire à l’année « bonjour »

Février pour dire à la neige « il faut fondre »

Mars pour dire à l’oiseau migrateur « reviens »

Avril pour dire à la fleur « ouvre-toi »

Mai pour dire « ouvriers nos amis «

Juin pour dire à la mer « emporte nous très loin »

Juillet pour dire au soleil « c’est ta saison »

Août pour dire « l’homme est heureux d’être homme »

Septembre pour dire au blé « change toi en or »

Octobre pour dire « camarades la liberté »

Novembre pour dire aux arbres « déshabillez-vous «

Décembre pour dire à l’année « adieu, bonne chance »

Et douze mois de plus par an,

Mon fils

Pour te dire que je t’aime.

Alain #Bosquet – Anatole Bisk, dit Alain Bosquet, né à #Odessa (#Ukraine) le 28 mars 1919 et mort à Paris le 17 mars 1998, est un poète et écrivain français d’origine #russe.

 

Joli rossignol et fleur de pommier,

Si la neige tombe au mois de Juillet,

Joli rossignol et fleur de pommier,

C’est que le soleil en Janvier brillait,

Joli rossignol et fleur de pommier.

La Fleur de pommier – Robert #Desnos

👑 A l’Elysée une mirepoix de grosses légumes

et des petits sifflets !

C’est la fin des haricots, avec le réchauffement climatique, il semblerait que les carottes soient cuites, fini l’abondance et le beurre dans les épinards déclame le #président Macron

Choupinet 1er devenu entre-temps, un légume ancien, un légume oublié, voire moche pour certains, est le seul à se fendre la poire et pense toujours qu’il n’a pas pris le melon. Sur un ton mi-figue, mi-raisin « On ne va plus se fendre la pêche ! » affirme-t-il devant un parterre de ministres et de conseillers en rang d’oignons, l’énergie nous presse le citron ! Hein, mes petits pains au chocolat ! vexant par la même les chocolatines présentes ! Sous l’œil rieur et approbateur du conseiller spécial aux prés carrés.

Cerise sur le gâteau, malgré quelques sang de navet dans l’assistance, les pétrisseurs de céréales disent ne plus avoir de blé et ne sont pas venu pour des prunes !

« On ne va pas se raconter de salades ! » surenchérit-il, personne ne compte pour des prunes, il faut ménager la chèvre et le chou ! Entre avoir du blé et ne pas avoir un radis, c’est bête comme chou, il faut couper la poire en deux.

En ces temps où nos poires pour la soif sont tapées, les échanges verbaux de « patates » et « cornichons » entre les belligérants qui appuient sur le champignon en sens opposés risquent de faire manger les pissenlits par la racine aux cheveux en épi, aux fesses en gousse d’ail, perdant la banane du début de parcours et informant ainsi les feuilles de chou que les champs d’action ne valent pas une cacahuète !

Les yeux en amande pour la galette du dimanche, on donnerait la prunelle de nos yeux pour une pomme d’Adam et avoir la pêche pour partir en retraite, c’est juste ce que demande ces trublions à la noix !

Je ne vais pas vous renvoyer la patate chaude et me lancer dans une course à l’échalote, personne ne travaille pour des cacahuètes, tout le monde pourra gagner son avoine, dit-il aux anciens mitrons !

Si faire l’asperge et poireauter des heures dans les salons de l’Elysée risquent de nous faire tomber dans les pommes, ramener sa fraise devant un brav rouge comme une piment, risque de nous jeter dans un panier à salade avec une belle prune.

Comme on le dit aux frais de la princesse, Foutriquet termine par ces mots : Quant aux gilets jaunes, s’ils veulent encore me peler le haricot, qu’ils ramènent leurs fraises et nous rejouent leur navet, ils vont se prendre des marrons, voire des pruneaux, et nos CRS ne sont pas des cœurs d’artichaud, surtout ceux qui ont un pois chiche dans la tête. Ils distribuent des châtaignes et te font les oreilles en choux-fleurs et les têtes comme des citrouilles.

« Allez la vilaine fermière, temps compté sur cette terre, taille la galette ! »

Galette Elysée brigitte

Premier Mondial de la Praline

Pralin, praline, praliné… Un mot proche, plusieurs déclinaisons, des origines encore peu éclaircies et surtout différentes confiseries !

Que vous soyez français, belge ou américain, le même terme endossera une signification différente.

La praline traverse les siècles et les régions (Bordelais, Lyonnais, Dauphiné, Savoie, Loiret…) et comme souvent en cuisine, le flou règne sur l’histoire de sa création.

Ce qui nous intéresse dans la région Auvergne-Rhône- Alpes, c’est la petite praline rose, composée d’amande, de sucre et de colorant rose. Aujourd’hui encore, des artisans de renom continuent de la fabriquer et de revendiquer sa paternité !

Ainsi, en brioche, en tarte, en pogne et même en macaron ou en cookie, la praline a su séduire les gourmands grâce à sa couleur indémodable, évoquant l’enfance et son goût sucré.

Comme chaque belle histoire, celle du label Savourer POUR ELLES est née d’une rencontre entre Sophie Moreau,

Présidente de l’association Courir POUR ELLES et les créateurs du Mondial de la Praline.

Avec ce Label, l’association souhaite rappeler que ce n’est pas parce que l’on est malade que l’on ne peut pas s’accorder des petits plaisirs, savourer la vie !

Donc, même si le sucre n’est pas conseillé, l’objectif est de transmettre un message

positif aux malades du cancer en les incitant à vivre mieux avec un combo gagnant : une alimentation saine, une activité physique et se faire plaisir !

L’association Courir POUR ELLES, avec le concours du Mondial de la Praline, va profiter du mondial pour faire déguster aux Lyonnais la praline dans tous ses états afin de récolter des fonds.

Du 28 au 30 octobre

À l’occasion du 1er Mondial de la Praline, au CFA de Gastronomie au sein du Château de Lacroix-Laval à Marcy-L’Etoile (69), sur le stand Savourer POUR ELLES, de nombreuses créations roses seront en vente au profit de l’association.

 https://www.mondialdelapraline.com/les-photos-de-levenement/

 mondial-de-la-praline-justine-peilley-22

Food Hotel Tech – 14 & 15 mars 2023 à Paris Expo Porte de Versailles.

Venez découvrir le futur de votre métier au salon des innovations technologiques et éco-responsables dédié à l’Hôtellerie et la Restauration en France.

Food Hotel Tech présente toutes les innovations dédiées aux professionnels de l’hôtellerie et de la restauration afin de les aider à accélérer leur business. Exposants, village startup, conférences et networking : découvrez à FHT les meilleures innovations, profitez d’un panorama complet des outils digitaux et bénéficiez de conseils d’experts et retours d’expériences de professionnels.

RDV les 14 & 15 mars 2023 à Paris Expo Porte de Versailles.

Demander son badge : https://badge.foodhoteltech.com/invitation-fht2023/?utm_source=ActiveCampaign&utm_medium=email&utm_content=Invitation&utm_campaign=060123-FHTPARIS-Mail+invitation+FHT+2023+Karen+Serfaty

44 ème Salon International de la Glace Artisanale, de la Pâtisserie, de la Boulangerie et du Monde du Café

21-25 janvier 2023 – Rimini Expo Center, Italie

Rimini

Demander son badge : https://en.sigep.it/visit/reserved-area

Découvrez la prochaine destination des Bocuse d’Or Europe 2024 !

Trondheim accueillera le Bocuse d’Or Europe 2024
« Le fait que la Norvège et Trondheim soient sur le point d’accueillir le Bocuse d’Or Europe aide à attirer l’attention sur le tourisme gastronomique et culinaire en Norvège. Trondheim et Trøndelag est une région culinaire passionnante, pleine de produits locaux et d’excellents ingrédients. le titre de Région européenne de la gastronomie, décerné par l’Institut international de la gastronomie, de la culture, des arts et du tourisme », déclare Aasheim.

Le Danemark a remporté l’or dans la prestigieuse compétition de cette année, tandis que le pays hôte, la Hongrie, a décroché l’argent. Une importante délégation de Trøndelag s’est rendue à Budapest pour encourager l’équipe de Norvège et pour recevoir la brillante nouvelle que la Norvège et Trondheim ont été choisies pour accueillir l’événement en 2024.

La Norvège — une puissance culinaire
Le concours international se déroule à Lyon tous les deux ans. Depuis 2008, des compétitions régionales ont également eu lieu en Europe, en Asie, en Amérique latine et aux États-Unis. C’est la compétition européenne qui se déroulera au centre de conférence Spektrum de Trondheim en 2024. La Norvège est une puissance du Bocuse d’Or et la nation avec le plus de victoires dans l’histoire de la compétition avec 5 médailles d’or dans la compétition mondiale et 5 médailles d’or dans la compétition européenne. compétition.

L’un des visiteurs du concours de cette année était chef de projet chez Oi! Trøndersk Mat og Drikke, Kristine Riise. Elle est ravie à la fois de la médaille de bronze et de la nouvelle que Trondheim sera la nouvelle ville hôte.

Mettre la Norvège et le Trøndelag sur la carte
„C’est fantastique de faire partie du Bocuse d’Or et d’être au courant du travail sur l’alimentation et la gastronomie. Cela fait partie de l’image globale, c’est comme le sport d’élite dans notre domaine. L’engagement fort que nous avons vu ici est quelque chose que nous apportera également au recrutement et au développement du Trøndelag en tant que région alimentaire », dit-elle.

Riise ajoute que l’obtention du titre de Région européenne de la gastronomie et l’accueil du Bocuse d’Or en 2024 contribueront à promouvoir l’accent mis sur le tourisme gastronomique et culinaire en Norvège et à mettre la Norvège sur la carte en tant que destination gastronomique de premier plan. Les produits et ingrédients locaux étant utilisés dans le concours, Bocuse d’Or Europe donnera aux producteurs locaux la possibilité de se mettre en valeur. Les amateurs de gastronomie venus de loin seront sans aucun doute attirés par le voyage, c’est pourquoi ceux qui travaillent à la promotion de la nourriture du Trøndelag sont particulièrement jubilatoires.

Carte Norway

https://business.visitnorway.com/en/meetings/bocuse-dor/

Et vous, vous en rêvez du train de nuit dans toute l’Europe ?

Vous l’ignorez peut-être mais il ne se passe pas une semaine sans que nous recevions de chaleureux messages de soutien pour nous demander des nouvelles de Midnight Trains. Avons-nous d’ores et déjà des trains ? Quand rouleront-ils ? Quels seront les prix des billets ? Quels seront les services disponibles à bord des hôtels sur rails de Midnight Trains ? Voici pour les plus classiques, mais elles sont loin d’être les seules. Certains d’entre vous s’intéressent aussi à l’avancée de notre financement, au matériel roulant que nous allons utiliser et à la manière dont nous avons mis la main sur celui-ci. D’autres encore s’interrogent sur la façon dont nous allons aménager ce matériel, sur le design des chambres de nos trains ou encore sur les modalités de restauration qui seront disponibles à bord. Bref, vous avez des milliers de questions et nous en sommes sincèrement ravis. En cette fin d’année 2022, nous avons décidé de répondre à un certain nombre d’entre elles. Pour cela, nous avons intégré ci-dessous trois vidéos issues d’une table ronde à laquelle a participé l’un de nos deux cofondateurs, Adrien Aumont. Et si vous n’avez pas l’envie ou la possibilité de lire ces vidéos, ne vous inquiétez pas, nous vous avons retranscrit leur contenu en version textuelle juste en-dessous. Bonne écoute, bonne lecture et à bientôt à bord !

NIGHT TRAIN in Russia. Trans-siberian railway

NIGHT TRAIN in Russia. Trans-siberian railway

Retrouvez des nouvelles du développement de Midnight en vous abonnant à notre newsletter https://www.midnight-trains.com/newsletter

Nous considérons quant à nous que, si on croit au train de nuit, – et nous ne le faisons pas du bout des doigts ou en se bouchant le nez – ce produit doit retrouver ses lettres de noblesse et être réinventé. Ce n’est pas une fin en soi de relancer les trains de nuit. Nous pensons au contraire que ce produit doit être un produit du XXIe siècle et que c’est le seul moyen que les gens descendent des avions. Car, si certains en descendront le poing levé, convaincus que c’est une nécessité de moins voyager à bord de ces véhicules polluants, les autres ne le feront pas s’il n’y a pas une proposition forte en face.”

(6) La vision de Midnight Trains – YouTube

 „On doit replacer l’alimentation au centre de nos existences”

Comment arrêter de „faire mentir les prix” tout en démocratisant une meilleure alimentation ?

Au lieu de ça, on a une économie alimentaire où les grands acteurs agro-industriels, qui font voyager des produits alimentaires sur des longues distances et qui font de la valeur ajoutée par la transformation des matières premières agricoles, encouragent les consommateurs à manger des aliments transformés et nocifs pour la santé. Il faut en sortir.

Décourager les pratiques non durables ne suffit pas, il faut surtout soutenir les pratiques vertueuses. Démocratiser le bio, cela signifie augmenter les aides à la conversion vers le bio: garantir le maintien des revenus des agriculteurs au cours des trois-quatre années qu’il faut pour passer du conventionnel au bio serait une grande avancée. Cela signifie aussi développer une logistique de transformation beaucoup plus décentralisée, reliant par des chaînes plus courtes, plus directes, le producteur au consommateur.

https://www.lecho.be/economie-politique/europe/general/olivier-de-schutter-on-doit-replacer-l-alimentation-au-centre-de-nos-existences/10271106.html

Tables de montagne : nos meilleures adresses gastronomiques

14 tables à découvrir entre ski, randonnées et balades de santé.

Parce qu’on ne peut pas enchaîner les raclettes et autres fondues traditionnelles pendant une semaine de vacances au ski, les restaurants rassemblés ici proposent une gastronomie différente. Créatives ou fusion, péruviennes ou franco-japonaises, ces tables d’altitude promettent un dépaysement garanti des papilles sur fond de cimes enneigées, de Courchevel à Val d’Isère en passant par Tignes.

Un trois macarons de montagne au hasard ! René et Maxime Meilleur

Hameau de Saint-Marcel, 73440 Saint-Martin-de-Belleville

René, le père, et Maxime, le fils. Meilleurs en duo, Meilleur tout court. Une combinaison d’exception, un yin et yang montagnard qui exprime l’âme d’un terroir et la quintessence d’une passion. Côté yin, une attention scrupuleuse au produit, comme les herbes et baies que René va cueillir au quotidien. Côté yang, la fougue et les inspirations de Maxime. Le résultat, une cuisine „intelligente mais compréhensible”. La jeune cheffe pâtissière Anaëlle Robelet cisèle une pâtisserie éprise de naturalité, à l’unisson des créations du duo des Meilleur. Ici, tout est imaginé en famille, puisque mère, fille, belle-fille et gendre travaillent ensemble en salle et à l’intendance. Sachez enfin que l’on vous accueille aussi pour la nuit : dans un chalet mitoyen, six chambres et suites du dernier chic montagnard vous tendent les bras.

La bouitte recette La bouitte

https://guide.michelin.com/fr/fr/best-of/tables-de-savoie-nos-meilleures-alternatives-a-la-raclette?utm_source=newsletter&utm_medium=email&utm_campaign=050123_B2C_FR_Immediate_release&utm_term=pos2_cta_FR_tables_montagne

Fin de la vaisselle jetable dans la restauration rapide dès le 1er janvier 2023

À compter du 1er janvier 2023, la loi anti-gaspillage pour une économie circulaire (Agec) oblige les enseignes de restauration rapide à l’emploi de vaisselle réutilisable pour les repas et les boissons consommés sur place.

https://www.latoque.fr/actualites/article/836127/fin-de-la-vaisselle-jetable-dans-la-restauration-rapide-des-le-1er-janvier-2023

Chasse : 80 % des Français réclament un cessez-le-feu le dimanche

Allain Bougrain-Dubourg

L’affaire s’apparente à l’arlésienne. Voilà plusieurs décennies qu’un dimanche sans chasse est plébiscité et on ne voit toujours rien venir. L’exécutif vient une nouvelle fois, de rejeter le changement.

L’idée d’accorder au moins un jour sans chasse pour calmer la tension n’a pourtant rien de révolutionnaire. L’Angleterre, les Pays-Bas, la Suisse, l’Espagne ou encore le Portugal ont déjà instauré un ou plusieurs jours sans chasse, sans générer de levée de bouclier. Impassible, droite dans ses bottes, la France, une fois de plus, reste à la traîne. Ce dédain à l’égard d’une majorité de français risque d’ajouter aux hostilités. Le clivage entre les pros et anti-chasse s’affirme. Ces derniers rappellent que ceux qui se prétendent premiers écologistes de France déversent sans sourciller quelque 6 000 tonnes de plomb, chaque année, dans la nature. Bonjour le saturnisme ! Ils soulignent que cet aimable loisir conduit à élever quelque 20 millions d’animaux dans des élevages souvent surpeuplés et douteux avant d’être relâchés devant les fusils. Ils constatent enfin qu’une quinzaine d’espèces d’oiseaux figurant sur la liste rouge de l’UICN (Union Internationale pour la Conservation de la Nature) servent toujours à remplir les gibecières malgré les engagements du candidat Macron promettant d’interdire la chasse des espèces les plus fragiles.

Chasse Charlie hebdo

https://charliehebdo.fr/2023/01/ecologie/cause-animale/chasse-80-des-francais-reclament-un-cessez-le-feu-le-dimanche/?utm_source=sendinblue&utm_campaign=NEWS%20QUOT%20-%20LARTICLE%20WEB%20-%20060123%20-%20NON%20ABONNES&utm_medium=email

Comment adopter une communication plus responsable ?

L’image du bonheur et de la réussite avec laquelle nous avons grandi ne rime pas toujours avec sobriété. D’autres modèles doivent émerger. Qui mieux que les communicants pour donner envie de s’y projeter ? À condition d’être cohérents.

Le greenwashing, tout comme le pinkwashing ou le rainbow-washing, ne passent plus : les tentatives de masquer l’impact de son cœur d’activité par des discours en faveur de l’environnement, des femmes ou des minorités sont de plus en plus souvent dénoncées.
« Quand on s’engage, il est important d’être sincère, humble et transparent, de ne pas exagérer l’ampleur de ses actions et, surtout, de faire ce qu’on dit, prévient Mathieu Jahnich, consultant-chercheur, spécialiste de la lutte contre le greenwashing. Sans quoi, les citoyens s’en rendent compte et perdent confiance. » Cela nuit aussi à l’attractivité de la marque en tant qu’employeur, alors que de plus en plus de salariés cherchent aujourd’hui à aligner leur travail avec leurs valeurs.

https://infos.ademe.fr/magazine-novembre-2022/dossier/comment-adopter-une-communication-plus-responsable/

Précarité alimentaire : avançons-nous vers des systèmes alimentaires durables plus inclusifs ?

Les derniers chiffres de l’Insee de juin 2022 confirment que la précarité alimentaire ne cesse de croître en France, sous des visages divers et que les personnes hésitent toujours à avoir recours à l’aide alimentaire par peur du jugement. Face à cette réalité, de nouvelles formes d’accès à une alimentation de qualité pour toutes et tous se déploient. Elles partagent des valeurs communes, notamment celle de placer le public concerné au centre des actions et de leur offrir un accès non stigmatisant. Ces initiatives s’identifient comme mettant en œuvre la « démocratie alimentaire », la « justice alimentaire » ou contribuant à assurer « le droit à l’alimentation ». La recherche accompagne cette multiplication d’actions. Les pouvoirs publics ne sont pas en reste, mais sont-ils à la hauteur du besoin de changement d’échelle de ces formes d’accès et des revendications d’inclusion ? Que dit l’avis rendu par le Conseil national de l’alimentation en octobre 2022 ? Et qu’en est-il du nouveau « fonds pour une aide alimentaire durable » annoncé le 3 novembre et doté de 60 millions d’euros pour 2023 ? Tour d’horizon de l’actualité dense de cet automne.

https://www.fondationcarasso.org/alimentation-durable/precarite-alimentaire-avancons-nous-vers-des-systemes-alimentaires-durables-plus-inclusifs/?utm_source=Liste+globale+AD+2022&utm_campaign=6d3d703542-EMAIL_CAMPAIGN_2022_09_30_01_16_COPY_02&utm_medium=email&utm_term=0_39bacb46d1-6d3d703542-558506276

Tous ensemble / Alimentation 2030, le projet alimentaire de Dijon

Mieux manger || Mieux produire

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„Dijon métropole porte une stratégie de transition alimentaire particulièrement ambitieuse. Notre capitale régionale possède tous les atouts pour déployer un projet susceptible de faire école, ailleurs en France, en Europe et dans le monde. Tout d’abord parce qu’il s’y trouve toutes les compétences requises et que les femmes et les hommes sont, comme toujours, les clés de cette réussite. Avec des entreprises, grandes et petites, des laboratoires publics et privés, une université et des grandes écoles, nous disposons, sur le territoire de Dijon métropole, d’un écosystème exceptionnel, structuré et organisé autour d’un pôle de compétitivité, d’unités mixtes de recherche, de sites fléchés vers la production, la recherche et la formation en agroalimentation. Dijon métropole a la légitimité pour porter une stratégie globale dont les enjeux sont à la fois environnementaux, sociaux et économiques : c’est une agglomération à taille humaine où les acteurs se connaissent bien, c’est un territoire urbain connecté au milieu rural qui l’entoure, c’est enfin une culture ancrée et affirmée du bien manger et du goût.

Notre objectif est bien d’impulser une nouvelle dynamique territoriale alimentaire, durable, accessible, profitant davantage à la fois au producteur et au consommateur. L’alimentation des consommateurs est principalement assurée par des acteurs privés mais elle touche à des sujets sur lesquels la métropole dijonnaise joue un rôle essentiel. Je pense à l’environnement, avec des préoccupations fortes sur l’eau, la biodiversité, les sols, la qualité de l’air. Je pense au développement économique, avec la nécessité de soutenir nos entreprises, de les accompagner dans leurs projets créateurs de richesse et d’emploi. Je pense à la dimension sociale, essentielle : l’alimentation de demain sera saine et durable mais n’aura de sens que si elle est accessible à toutes et à tous. Je refuse l’idée même d’une alimentation à deux vitesses. Enfin, l’enjeu du rayonnement et de l’attractivité de notre métropole est étroitement lié à la réussite de notre stratégie de transition alimentaire, à l’heure où beaucoup de nos concitoyens choisissent leur lieu de vie plus qu’ils ne le subissent.

Consomm’acteur, santé et territoire

Le projet consiste à inventer et à co-créer avec les citoyensconsommateurs les nouveaux services dont ils ont besoin afin d’améliorer leur alimentation. Comment favoriser la consommation de produits locaux ou de saison, comment diminuer la part de produits transformés dans l’alimentation, quels modes de distribution adaptés à la vie actuelle ? Ce sont quelques-uns des sujets qui sont traités par le biais de solutions variées : parcours éducatifs, dispositifs de sensibilisation, solutions digitales d’aide à la décision, offres d’approvisionnement, aide au choix des menus… L’enjeu est à la fois sanitaire, gustatif, environnement et économique.

https://mangerdusens.ecdys.fr/news/286

 

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